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A.M.D.F 

management d'une équipe commerciale via 3 points de ventes Maisons de Lumières By TECHNAL 

Mes missions au sein de AMDF aluminier TECHNAL :

-	Management d’une équipe commerciale
-	Mise en place d’une stratégie commerciale 
-	Suivi des objectifs
-	Formation de la force commerciale
-	Prospection et fidélisation d’un réseau de professionnels (architectes, entrepreneurs…)
-	Réalisation d’entretien de candidats

Directeur commercial

Poste: Chargé d'affaires

Mes missions au sein de AMDF aluminier TECHNAL :

-	Prospection et fidélisation d’un réseau de professionnels (architectes, entrepreneurs…) et 
        particulier
-	Réalisation de chiffrages et des plans techniques
-	Relance clients
-	Suivi de chantiers
-	Réception de chantiers
-       Vente sur salon (foire de paris)

chargé d'affaires

Jacques Sabater

Fondatrice Wilson Web I L'agence qui t'aide vraiment sur LinkedIn à te lancer en 6 semaines

J’accompagne les sceptiques de LinkedIn.
Pourquoi ? Parce que j’ai été l’une d’entre eux.

(2020. Ma prospection s’effondre.)
Je me tourne vers LinkedIn… et c’est le choc.
Je ne comprends rien à ses codes.
😞 Je doute. Je galère. Je me perds.
J’ai voulu tout arrêter.

Mais j’ai refusé de lâcher.
Je me suis formée. J’ai testé, échoué, appris.

Et surtout, j’ai compris ce que les autres faisaient différemment.

Aujourd'hui J’ai structuré une méthode qui fonctionne : LINKEDIN START
➡ 40 rendez-vous par mois et 33 000 abonnés engagés plus tard, je suis devenue stratège sur LinkedIn.

Et voici ce que j’ai découvert : LinkedIn n’est pas un simple réseau social.
💡 C’est une machine à générer des opportunités.

LINKEDIN START  vous permet à vous aussi en 6 semaines : 
- d'attirer des clients qualifiés avec un profil optimisé et percutant.
- de publier avec régularité sans perdre des heures, grâce à un système de contenu structuré.
- de transformer LinkedIn en un canal d’acquisition puissant pour générer des leads en continu.

Pourquoi ça fonctionne ?
Parce que je sais ce qui bloque les entrepreneurs sur LinkedIn :
❌ Un profil qui n’attire personne.
❌ Des posts qui passent inaperçus.
❌ Le manque de structure : on publie quand on a le temps, sans vraie stratégie.
❌ La frustration de voir d’autres réussir… sans comprendre pourquoi.

➡ Mon approche : directe, efficace et actionnable.
✔ 0 blabla, seulement des stratégies qui marchent.
✔ Des actions simples et immédiates.
✔ Un cadre clair pour enfin tirer parti de LinkedIn.

Avoir un bon profil, c’est bien. Mais sans une identité forte, vous restez invisible. 

C’est pourquoi, avec mon équipe, on va plus loin :

 Nous mettons en place un système complet où branding, site web et stratégie LinkedIn s’unissent pour asseoir votre autorité et générer des leads.

LinkedIn peut devenir votre plus grand levier de croissance.
Encore faut-il en maîtriser les codes.

Envoyez-moi un message et voyons ensemble comment booster votre business.

📞 0661738633
💻 contact@wilsonweb.fr

Aurore Petrus

Lundi 7h40. Je suis encore dans mon lit, les yeux à peine ouverts. Un message simple,« Tu as oublié de mettre le document de ton carrousel. »

Moi, dans ma tête : 🤦‍♀️
(Évidemment.)

Il y a cette seconde où l’on sourit, à moitié amusée, à moitié touchée.

Parce que ce n’est pas seulement une remarque technique.
C’est ce geste qui dit : « Je veille sur toi. »

Quelqu’un qui prend deux minutes, juste pour éviter que ton contenu parte en vrille.

Et qui te rappelle mine de rien que tu n’es pas seule dans ce grand bazar qu’est LinkedIn.

Car derrière les posts, il y a ça : Un écosystème humain.

Un réseau de liens discrets mais solides.

Et ça, ça me bluffe à chaque fois.

Ce matin là, j’ai simplement été rappelée d’une chose toute bête : on ne construit rien seul. Et parfois, il suffit d’un message de 7h30 pour s’en souvenir.

Je crois profondément que c’est en s’opposant que l’on fait avancer le débat. Et l’épisode Léna Situations / Frédéric Beigbeder en est la preuve.

Quand Beigbeder publie sa chronique dans Le Figaro, ce n’est pas vraiment le contenu du livre qui l’irrite.

C’est ce que Léna incarne : une ascension  et un succès qui dépasse 200 000 exemplaires vendus, et une génération que le monde littéraire traditionnel ne maîtrise plus.

Son texte n’a rien d’une critique littéraire.
C’est une attaque, pure et simple.

Un moyen détourné de dire : « ce succès-là n’est pas légitime ».

Mais Léna ne s’est pas laissé enfermer dans ce jeu.

Invitée dans Quotidien le 11 novembre, elle répond avec un calme:
« Au-delà de la critique du livre — qui fait partie du jeu — c’était vraiment une critique très personnelle. (…) C’est la facilité de s’attaquer à la nouvelle génération. (…) Il écrit ce qu’il veut, et on répond ce qu’on veut. On est fatigués de ce snobisme intellectuel et du mépris envers des jeunes qui essaient de faire des choses. »

Puis elle lâche la phrase qui remet tout en perspective :
« Si j’avais été dans le classement après lui, je ne pense pas qu’il aurait écrit ce papier. »

Pour ma part, je ne vais pas mentir : je ne suis pas une fan de Léna Situations.
Je ne fais pas partie de son audience, je ne consomme pas tout ce qu’elle crée.

Mais il faut reconnaître que sa réponse est d’une précision chirurgicale.

Elle remet l’échange à son vrai niveau : celui de l’ego piqué, de la peur du renouvellement, du refus d’un territoire qui change.

Quand quelqu’un s’oppose, tout devient clair :on voit enfin où est le problème.

Elle oblige chacun à clarifier ses arguments, à dévoiler ses motivations, à assumer sa position.

Elle met à nu ce qui dérange vraiment.

Et elle montre, surtout, l’intelligence d’une personne dans sa manière de réagir.
Dans cette séquence, tout est clair : Léna 1 — Frédéric 0.

Non pas parce qu’elle “gagne”.
Mais parce qu’elle élève le débat pendant qu’il le rétrécit.

Et c’est précisément là que l’opposition devient utile : elle révèle la vérité. Et elle montre qui avance — et qui reste bloqué.

Non ?

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Fondatrice Wilson Web I Formation LinkedIn Start | Le trio gagnant : Identité visuelle – Sites web sincères et pensés pour le trafic – Stratégie LinkedIn pour les dirigeants en B2B

Avez-vous vu cette vidéo où Anthony Bourbon se prend un véritable vent ?

Un entrepreneur refuse son offre en expliquant qu’il ne partage pas la vision du business proposée.

Il lui dit, en substance :
 « Ce n’était pas la personne dont je venais chercher les valeurs ni l’expertise.
 J’ai compris que je ne suis pas assez “shark”. Et je n’ai aucune envie de le devenir. »

Ce moment est fascinant.

Parce qu’au lieu de se laisser impressionner, séduire ou déstabiliser, il reste ancré dans ce qu’il est.

Anthony insiste. Encore.

Il tente de convaincre, d’argumenter, de ramener tout cela du côté du rationnel.
 
Mais il ne bouge pas.

Il protège son périmètre intérieur avec une lucidité implacable.

Et ce “non” m’a marquée.

On oublie à quel point c’est rare quelqu’un qui assume sa façon d’entreprendre.

Ce n’est pas simple.
Ce n’est jamais simple.

Mais c’est comme ça qu’on construit du vrai :en refusant de se renier, même quand la proposition semble brillante.

Et ce “non” l’a montré d’une manière presque brutale :
la vraie puissance, c’est de rester soi même quand ça dérange.

On en parle du pull sans manches de Sébastien Lecornu à 39,90 € ?

Quelques minutes avant de défendre le budget 2026, il hésite :« Je le garde ou pas ? »

Et la réponse tombe de son équipe de communivation  :
 « Gardez-le, car c’est vous. »

Et effectivement : c’est lui.
 Ce look minimaliste, presque austère, qui le fait paraître plus vieux qu’il ne l’est.
 (il a 39 ans)

Depuis des semaines, il apparaît partout dans le même uniforme :
 un pull à col V décliné en gris, noir, marine ou vert, glissé entre la chemise et le costume, comme un gilet d’un autre siècle, laissant dépasser une cravate compressée sous la maille.

À Vernon, la scène est encore plus parlante :
 ⇾ souliers usés, 
⇾ tote bag rempli de poireaux, 
⇾ velours côtelé marron,
 ⇾ et toujours ce pull vert sous une veste bleu marine.

Un tableau qui semble négligé.
Ou une négligence parfaitement calibrée.

Je penche pour la première.

Parce qu’au fond, on aime ou pas le personnage…
il reste étonnamment cohérent.

Et ça, en politique, c’est devenu rare.
Et, c'est une façon de répondre à la France dépossédée.

Conclusion : 
⇾ Ce n’est pas qu’un pull.
⇾ C’est une identité.
⇾ Et c’est le storytelling le moins cher du pays.

Aurore  Petrus

La santé mentale est un sujet trop sérieux pour être cantonné à des cercles d’initiés.

Je le dis d’emblée : je ne suis absolument pas sensible aux concours de beauté, ni à ce qu’ils véhiculent habituellement de symbolique ou de mise en scène, il m’a pourtant été impossible, cette année, de rester indifférente.

Le discours a glissé là où on ne l’attendait pas : sur la santé mentale. 

Fraîchement élue, Miss France Hinaupoko Devèze a parlé de burn-out et a remis au centre du débat un sujet qui traverse toute une génération.

Comme si une fée s’était penchée sur son berceau pour lui offrir, non seulement la beauté, mais aussi l’intelligence, la lucidité et le courage de mettre des mots là où tant préfèrent encore se taire.

Sur LinkedIn, c’est un sujet brûlant, même si beaucoup préfèrent encore l’éviter.

Je le vois chaque semaine : des personnes  légitimes, qui me confient ne plus oser publier,simplement parce qu’elles n’en peuvent plus des remarques déplacées, des jugements gratuits, des attaques déguisées en opinions, de cette forme de violence molle mais constante qui finit par user.

 Alors elles se taisent.
 Et le silence gagne du terrain.

Ce qui est profondément injuste, c’est que ce silence ne profite jamais aux bonnes personnes.

Il laisse la place à ceux qui parlent fort, mal, sans filtre, sans conscience, sans travail intérieur, et qui projettent sur les autres ce qu’ils n’ont jamais pris le temps de régler en eux-mêmes.

La santé mentale, pour moi, n’est pas un concept abstrait.
C’est un chemin.

Un travail de fond, parfois long, parfois inconfortable, que j’ai entrepris il y a des années pour atteindre une forme de sérénité et de clarté.
 
Et cette sérénité, je la protège.

Alors oui, je le dis avec calme mais avec fermeté : il m’épuise de devoir composer avec des personnes qui n’ont jamais fait ce travail, et qui viennent déposer leur agitation, leurs frustrations, leur amertume sur des espaces qui devraient rester des lieux d’échange, de respect et d’intelligence collective.

 Nous n’avons pas à porter cela.
 Nous n’avons pas à nous excuser d’être alignés.
 Nous n’avons pas à réduire notre voix pour ménager des égos fragiles.

Parler de santé mentale sur LinkedIn n’est pas une faiblesse.
C’est un acte de maturité.

Prenez la parole.
Avec élégance.
Avec conscience.

La santé mentale n’est pas un sujet à débattre.
C’est quelque chose à préserver.

Et cette année, contre toute attente, Miss France l’a simplement rappelé.

Le “post and run” : l’élégante manière de s’auto-saboter sans faire de bruit.

Cette habitude consiste à publier… puis à disparaître aussitôt.

Avouez-le : vous l’avez déjà fait.
Vous publiez, puis vous repliez vos ailes.

Pas un commentaire, pas une interaction, pas même un regard en arrière.

Vous êtes déjà passé à autre chose ailleurs, plus loin, trop vite.

Pourtant, LinkedIn fonctionne exactement à l’inverse :
↳ce n’est pas ce que vous diffusez qui construit votre présence, mais ce que vous entretenez.

Lorsque vous quittez la plateforme après avoir publié, vous envoyez un signal très clair :« Je parle, mais je n’écoute pas.

L’algorithme le remarque.
Les lecteurs aussi.

À l’inverse, lorsque vous demeurez quelques minutes après votre publication, lorsque vous commentez les posts de vos clients idéaux, lorsque vous engagez un échange plutôt qu’une fuite, quelque chose change subtilement :

↳Votre contenu ne disparaît plus : il reste, et il crée du lien.

C’est dans cette demi-heure-là que tout se joue : votre présence, votre marque, et la confiance que les autres choisiront ou non de vous accorder.

Et si vous aspirez à maîtriser pleinement les codes de ce réseau, c’est par ici pour se lancer : https://lnkd.in/e5RZT3V4
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Je suis Aurore Petrus. J’aide les dirigeants à décoder LinkedIn et à s’y sentir enfin à l’aise, en 8 semaines pour attirer les bonnes opportunités.

Il y a un type de client avec lequel je n’accepte plus de travailler.
 Et non, ce ne sont pas ceux qui paient en retard.
 
C’est bien pire que ça.
Ce sont ceux auprès de qui il faut toujours courir.

 Toujours relancer.
 Toujours réclamer un brief, un document, une photo, une validation…
 Alors qu’ils sont, paradoxalement, de très bons payeurs.

Ce n’est pas un problème d’argent.
C’est un problème d’énergie.

Je suis quelqu’un qui met de l’élan, qui arrive avec la bonne dynamique, l’envie d’avancer, l’envie de tirer le projet vers le haut.

Mais lorsqu’en face, rien ne suit, lorsqu’il faut arracher chaque élément pour progresser, je sens en moi quelque chose se fatiguer.

Et cette fatigue, ce n’est pas seulement la mienne :
elle contamine l’équipe,
elle ralentit tout,
elle détourne de l’attention d’autres clients qui, eux, jouent vraiment le jeu.

J’ai compris que ce n’était plus tenable.

Si quelqu’un n’a pas le temps, s’il n’est pas vraiment prêt, alors il ne faut pas lancer un site web, ni une refonte de marque, ni même un accompagnement LinkedIn.

Parce que, quelle que soit la mission, ça demande un minimum de présence, d’implication et de disponibilité émotionnelle.

 Sans ça, rien ne fonctionne.
 Et tout le monde s’épuise.

À partir de là, c’est simple : si vous êtes engagé, je donne tout.
 Si vous ne l’êtes pas, je passe mon tour.

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Je suis Aurore Petrus. J’aide les dirigeants à décoder LinkedIn et à s’y sentir enfin à l’aise, en 8 semaines pour attirer les bonnes opportunités.

C’est LE grand sujet sur LinkedIn en ce moment. Tout le monde en parle, mais peu le comprennent vraiment :les contenus génériques ne passent plus le filtre.

On le voit partout : des posts propres, bien intentionnés,
 mais sans relief, sans angle, sans incarnation.
 Ils glissent, puis s’effacent.

Ils n’atteignent même pas le premier niveau de diffusion.
Et chaque jour, des créateurs se demandent pourquoi leur portée s’effondre…
alors que la réponse est simple : ce que l’époque attend, ce n’est plus du contenu,
c’est une voix.

Ce carrousel vous montre comment sortir du générique et redevenir réellement visible.

C'est par ici 👇

generique

Il y a quelques "Poules Mouillées" sur LinkedIn.

L’expression « poule mouillée » est une expression du français populaire.

 Elle signifie : quelqu’un qui manque de courage, qui hésite, qui se dérobe.
L’image est simple : une poule mouillée ne bouge plus.

 Elle reste collée au sol, tétanisée.

Dans le langage des symboles, chaque animal raconte quelque chose :
 ⇾ le renard incarne la ruse,
 ⇾ le lion la bravoure,
 ⇾ l’âne la bêtise…

Et la poule mouillée ?
Elle incarne la paralysie.
🐔 

Et sur LinkedIn, il y a des “poules mouillées”.
Nous en avons tous été une, à un moment donné.

⇾ La peur de se mettre en avant.
⇾ La peur d’être lu par beaucoup de monde.
⇾ La peur d’être mal compris, critiqué, vu trop tôt ou trop fort.

Alors, on ne fait rien.

Mais la vérité est simple : c’est l’action qui crée la réussite, jamais l’hésitation.

Et la bascule tient à un geste : publier avant que la peur ne parle.

La punchline ?
↳Si tu attends d’avoir moins peur, tu n’agiras jamais.

C'est par ici pour se lancer : https://bit.ly/4kGVsLG

On me demande souvent des mises en relation.J’accepte volontiers, mais il y a une condition, et elle est non négociable :

↳un profil clair.
 
Sur LinkedIn, quand quelqu’un ne vous connaît pas, votre profil devient votre voix.

 Et s’il n’y a ni titre, ni photo, ni bloc Info, ni même un début de prise de parole… alors la connexion devient bancale, presque injuste pour la personne en face.

Je ne parle pas d’un profil “parfait”.
 Je parle d’un minimum qui dit : « je suis là, et j’assume ma place ».

⇾ Un titre lisible.
⇾ Une photo simple et professionnelle.
⇾ Un paragraphe qui raconte ce que vous faites et pourquoi vous le faites.
 ⇾Une recommandation, une trace, quelque chose qui témoigne de vous.

Parce qu’une mise en relation, c’est un geste de confiance.
Et la confiance, elle se nourrit de clarté.

Remplissez votre profil.
Pas pour moi.
Pour vous.

 Et pour ceux qui ouvriront peut-être une porte… si vous vous présentez pleinement.

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Je suis Aurore Petrus. J’aide les dirigeants à décoder LinkedIn et à s’y sentir enfin à l’aise, en 6 semaines pour attirer les bonnes opportunités : 👉https://lnkd.in/e5RZT3V4

Pourquoi les Américains assument leur personal branding… et pourquoi les Français s’en méfient

Ce qui m’étonne toujours, c’est notre capacité à adopter sans résistance des traditions venues d’outre-Atlantique.

Nous célébrons Halloween nous attendons le Black Friday comme un rituel annuel, et certains commencent même à fêter Thanksgiving, comme si cette fête familiale américaine avait toujours fait partie de notre paysage culturel.

Why not, après tout.

Mais lorsqu’il s’agit de personal branding, soudain, un blocage persiste

Je le vois chez ceux que j’accompagne : une réserve presque instinctive

Il y a une raison profonde derrière notre malaise collectif.

Il faut remonter loin jusqu’aux fondations mêmes des deux nations  pour comprendre pourquoi un Américain affirme « voici qui je suis » là où un Français murmure « ne me prenez pas pour quelqu’un que je ne suis pas ».

Ce n’est ni un hasard, ni une simple question de tempérament.

C’est une question d’histoire, de religion, de philosophie politique, de rapport au collectif, et de construction institutionnelle.

Les Américains ont grandi dans une culture où l’individu doit se montrer pour exister. L’éthique protestante leur a murmuré pendant des siècles que la réussite visible est le reflet d’une vertu intérieure.

𝐋𝐞 𝐦𝐲𝐭𝐡𝐞 𝐝𝐮 𝐬𝐞𝐥𝐟-𝐦𝐚𝐝𝐞 𝐦𝐚𝐧 𝐚 𝐟𝐚𝐢𝐭 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐭𝐞 : 𝐫𝐚𝐜𝐨𝐧𝐭𝐞𝐫 𝐬𝐚 𝐭𝐫𝐚𝐣𝐞𝐜𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐧’𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐦𝐚𝐫𝐪𝐮𝐞 𝐝’𝐞𝐠𝐨, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐮𝐯𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐚𝐠𝐞.

En France, nous portons une autre mémoire.
Un pays catholique qui a valorisé la modestie.
Une Révolution qui s’est méfiée de ceux qui s’élèvent trop vite.
Un système républicain où la légitimité se reçoit des institutions, rarement de soi-même.

Nous avons appris à briller… sans bruit.
Et c’est ainsi que deux cultures se sont opposées :

 — d’un côté, l’affirmation sans complexe,
 — de l’autre, la pudeur comme vertu cardinale.

Alors, forcément, LinkedIn plateforme américaine jusqu’au bout des valeurs nous déstabilise.

Il demande ce qu’on nous a appris à ne jamais faire : dire qui nous sommes, ce que nous avons accompli, ce que nous voulons défendre.

Mais la vérité, c’est que le personal branding ne nous est pas hostile.

Il attend simplement que nous l’habitions à la française, avec cette hauteur, cette nuance, cette élégance qui nous distingue.

En racontant, avec sobriété et conviction, ce que nous apportons réellement.

Nous n’avons pas à devenir américains pour exister sur LinkedIn.
Nous avons à devenir plus nous-mêmes.

Et c’est précisément là que se trouve toute la force d’une marque personnelle :
dans ce mélange d’authenticité, de courage, et d’élégance intérieure qui, une fois exprimé, change définitivement la manière dont on vous perçoit… et dont vous vous percevez vous-même.

↳𝐓𝐡𝐞 𝐅𝐫𝐞𝐧𝐜𝐡 𝐏𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐁𝐫𝐚𝐧𝐝𝐢𝐧𝐠

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Je suis Aurore. J’aide les dirigeants à décoder LinkedIn pour attirer les bonnes opportunités .

Le mot autorité dérange. 

Je m’en suis rendu compte le jour où une cliente m’a dit : “Je ne veux pas paraître arrogante.”

 C’est là que j’ai compris : si ce mot fait peur, c’est simplement parce qu’on en ignore le sens réel.

 Et pourtant… sur LinkedIn, c’est l’un des leviers les plus rapides pour le devenir.

Dans ce carrousel, je vais vous montrer à quoi sert réellement l’autorité… et comment la développer sans jamais basculer dans l’arrogance. 

C'est par ici 👇

Autorité

On pense que les révolutions naissent d’armes… jusqu’au jour où un sari rose, porté par des femmes méprisées, renverse tout un système.

L’histoire se déroule loin des caméras, dans les terres arides de l’Uttar Pradesh.

Un endroit où où les traditions pèsent plus lourd que la loi, et où les femmes apprennent très tôt à se faire petites pour survivre.

Dans cette région vit une forte population de Dalit, « les intouchables ».
Et tout au bas de cet ordre social déjà écrasant, il y a les femmes Dalit :

doublement méprisées,
doublement réduites au silence.

Ici, les femmes sont régulièrement battues, violées, mariées de force.
(Et personne ne s’en émeut vraiment.)

C’est parmi elles que naît Sampat Pal Devi.
Mariée de force à douze ans.
Elle s’invite dans les couloirs d’une école de garçons, écoute en cachette, mémorise en silence.

𝐄𝐥𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝 𝐭𝐫𝐞̀𝐬 𝐭𝐨̂𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐥’𝐢𝐠𝐧𝐨𝐫𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐫𝐢𝐬𝐨𝐧, 𝐞𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐥𝐞 𝐬𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐩𝐞𝐮𝐭 𝐝𝐞𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐚𝐫𝐦𝐞.

À seize ans, un soir, des cris déchirent l’air.
Une voisine battue par son mari.
Une scène banale ici.

Mais pour Sampat, ce n’est plus supportable.
Quelque chose se rompt en elle quelque chose qui ne sera plus jamais recollé.
(La colère, parfois, devient une grâce.)

Elle rassemble les femmes du village, saisit des bâtons de bambou, et affronte l’agresseur sans trembler.

Et ce jour-là, une vérité simple s’impose : la peur change de camp.

𝐄𝐧 𝟐𝟎𝟎𝟔, 𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐟𝐨𝐧𝐝𝐞 𝐥𝐞 𝐆𝐮𝐥𝐚𝐛𝐢 𝐆𝐚𝐧𝐠, “𝐥𝐞 𝐠𝐚𝐧𝐠 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐚𝐫𝐢𝐬 𝐫𝐨𝐬𝐞𝐬”.
(Elles ont même un site web).

Un nom presque tendre, jusqu’à ce qu’on comprenne que ce rose-là n’a rien d’innocent.

C’est un rose qui claque comme un défi.
Un rose qui dit : « Regarde-nous bien. Nous ne disparaîtrons plus. »

Pourquoi du rose ?
Parce que c’est visible.
Parce que c’est féminin.
Parce que c’est une couleur qu’elle retourne contre ceux qui méprisent les femmes.

Leur combat dépasse rapidement les violences conjugales :
elles empêchent des mariages forcés, dénoncent des policiers corrompus, refusent les injustices, construisent des routes, installent de l’eau potable, éclairent des villages oubliés.

Elles bâtissent ce que personne n’a jamais construit pour elles : un avenir.

L’impact est fulgurant.

Quatre cent mille saris roses qui avancent comme un mur de dignité.

Aujourd’hui, dans l’Uttar Pradesh, on raconte que lorsqu’un homme lève la main sur sa femme, il vérifie derrière lui au cas où un sari rose apparaîtrait au bout du chemin.

Sampat Pal Devi est désormais une figure essentielle du féminisme indien.

Et cette histoire rappelle une vérité profonde :
 un vêtement n’est jamais “juste” un vêtement.

Le rose des Gulabi Gang, comme le violet des Suffragettes, les cagoules des Pussy Riot ou le foulard vert des NiUnaMenos, prouve ceci :

↳ le vêtement devient redoutable lorsqu’il porte une intention plus forte que la peur.
(Et c’est peut-être ça, la plus belle forme de révolution.)

Il y a un détail très concret qui m’a frappée en observant la manière dont Patek Philippe présente ses produits.

La maison ne fait presque pas de publicité, elle ne met aucune célébrité en avant, et pourtant, elle reste l’une des marques les plus désirées au monde.

Ce choix de discrétion n’a rien de romantique : c’est une stratégie parfaitement maîtrisée.

Depuis 1996, leur seule véritable campagne destinée au grand public repose sur une phrase simple :« Vous ne possédez jamais vraiment une Patek Philippe. Vous en êtes simplement le gardien pour la génération suivante. »

Ce slogan fonctionne parce qu’il explique clairement la proposition de valeur :

 ↳on n’achète pas seulement un objet, on achète quelque chose qui va durer, se transmettre, conserver sa valeur et sa légitimité dans le temps.

Ce qui frappe ensuite, c’est la manière dont le prix  pourtant très élevé apparaît  sans insistance.

Dans le luxe, on ne justifie pas un tarif : on laisse le produit, la réputation et la rareté faire ce travail à notre place.

Patek Philippe rappelle ainsi qu’au-delà du vacarme des réseaux, certaines maisons résistent encore aux codes de l’influence, et c’est précisément cette résistance qui renforce leur désirabilité.

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Je suis Aurore, je parle de branding chaque jour. Si ces sujets vous intéressent, suivez-moi Aurore Petrus

J’ai lu qu’il ne fallait pas raconter ses objectifs ici. Que c’était une stratégie risquée, qu’il valait mieux avancer masqué. Pourtant, il y a un an j’ai fait tout le contraire pour LinkedIn Start. 

J’ai tout révélé, chaque étape, chaque coulisse, chaque ajustement. 

C’était la grande mode du building in public.

Pour ceux qui l’ignorent, cela consistait à dévoiler chaque coulisse de son offre au fur et à mesure de sa création. 

C’était raconter non seulement le produit fini, mais aussi les étapes, les échecs, les ajustements. 

Aujourd’hui, cette tendance s’est un peu estompée. 

On la dit dépassée, on murmure qu’elle n’est plus conseillée. Mais sans cela, je ne serais pas là où je suis.

La vérité, c’est que cette transparence assumée a été ma force. 

Aucun détour, aucun “bullshit” : juste des mots forts, une authenticité qui frappe et qui construit la confiance. 

Et justement, si vous vous posez la question, si vous avez envie d’en savoir plus sur mon offre, je vous mets le lien ici : https://bit.ly/4kGVsLG

Vous n’avez qu’à cliquer et plonger dans les détails.

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Je suis Aurore Petrus. J’aide les dirigeants à décoder LinkedIn et à s’y sentir enfin à l’aise, en 8 semaines pour attirer les bonnes opportunités.

Il est 13h13 quand j'écris ce post. Je repense à cette idée étrange qu’on nous a vendue : l’inspiration tomberait du ciel, comme  un coup de grâce providentiel…

Comme si ceux qui créent avaient simplement “de la chance”.

La vérité est beaucoup plus simple et beaucoup plus exigeante.
 
L’inspiration se travaille.
Elle s’entretient comme un muscle.

J’y pensais encore en revoyant cette vidéo de Leonardo DiCaprio, racontant comment il a préparé LA scène que j’adore, celle où il est complètement torché et tente désespérément de sortir de sa voiture.

Cette scène est un monument.

Il explique qu’il s’est inspiré d’une vidéo vu sur YouTube ( "l'homme le plus ivre du monde")… d’un gars totalement ivre, incapable d’acheter une bière pendant 30 minutes.

 Une scène absurde, presque grotesque  mais qui lui a donné la clé.

 Il a observé.
 Il a cherché.
 Il a nourri son jeu.

 Puis il a livré un moment devenu culte.

Et je crois  que LinkedIn fonctionne exactement de la même manière.

On pense que les bonnes idées surgissent.
Qu’il suffit d’attendre.
Qu’un matin, l’étincelle fera le travail à notre place.

Mais non.

L’inspiration se cultive :
⇾ dans la lecture,
⇾ dans votre veille,
⇾ dans l’observation de vos pairs,
⇾ dans les conversations volées,
⇾dans les marches où l’esprit se détend,

 Mais elle ne vient jamais seule.

Et c’est peut-être ça, le message : L’inspiration n’est pas un miracle, c’est une décision.

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Arrêtez d’inventer. Commencez à recycler.

Je recycle mes posts après sept mois, parfois un an.

Même lorsque le nombre de likes varie, les vues  elles progressent. 
Et c’est bien là l’indicateur qui compte.

Ce n’est pas de la facilité.
C’est de la méthode.

 Et surtout, c’est ce qui garantit un volume régulier de vues sur la semaine, sans pression inutile.

Pour cela, je m’appuie sur une organisation rigoureuse :
↳ une template Notion structurée par piliers, par thématiques et par niveaux de stratégie TOFU, MOFU, BOFU où chaque idée repose, prête à être réactivée au bon moment.

C’est ce système qui me garde régulière, même quand l’énergie tombe.

Notamment quand je pars en vacances.
Le recyclage devient alors un trésor.

C’est une stratégie de long terme, claire et lucide.

Ce n’est pas un signe de faiblesse.
 C’est une stratégie. Point.

On capitalise. On optimise. On avance.
Ceux qui recyclent durent.
Les autres s’épuisent.

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Je suis Aurore Petrus. J’aide les dirigeants à décoder LinkedIn et à s’y sentir enfin à l’aise, en 6 semaines pour attirer les bonnes opportunités : 👉https://lnkd.in/e5RZT3V4

Il existe deux types de personnes : celles qui récitent le règlement, et celles qui cherchent la solution. Les secondes changent votre vie.

C’était il y a trois ans.
 Et je m’en souviens encore.

Quelques jours avant Noël, j’avais décidé d’emmener mes enfants à Londres.

On partait pour trois jours de parenthèse enchantée : pulls de Noël, chaussettes assorties, excitation dans les yeux comme une guirlande qui ne s’éteint jamais.

Même moi, je crois que je me serais pincée les joues, tant l’enthousiasme était à son comble.

Et puis, au moment de franchir la douane, tout s’est figé.

Le passeport de ma fille apparaissait comme déclaré volé.

J’en avais un nouveau en main, parfaitement valable, mais dans le système…l’ancien criait encore l’alerte.

Une anomalie administrative.
Une ligne rouge sur un écran.

Et soudain, toute la magie basculait.

En une fraction de seconde, on nous a redirigés vers un bureau fermé, froid, impersonnel.

On s’assoit sur un banc avec nos pulls de Noël.

Là, un premier agent m’a regardée avec ce mélange d’agacement et de certitude tranchée :« Madame, c’est Noël. Vous ne partirez pas.

 Et même si vous passez la douane française, vous serez bloqués par la douane anglaise. ».

Phrase sèche.
Posture close.

Tout semblait déjà figé, comme si la discussion s’éteignait avant même d’avoir existé.
Et puis il y avait l’autre agent.

 Un agent à la posture totalement inverse : calme, attentif,  bienveillant, avec une petite lumière dans les yeux.

 Il a simplement dit :
« Laissez-moi voir ce que je peux faire. Je vais essayer pour vous. »

Pas de promesse.
Pas de grand discours.

Juste cette volonté d’essayer. Ce geste discret que certaines personnes font naturellement, parce qu’elles refusent la fatalité du “non”, parce qu’elles savent que l’humain mérite parfois qu’on s’attarde, qu’on insiste, qu’on cherche.

Il a passé des appels, insisté, vérifié, re-vérifié.
 Il a trouvé une solution là où d’autres n’avaient vu qu’une impasse.

Et contre toute attente… nous sommes partis.
Nous avons franchi la douane.

Londres.
La magie.
Le voyage sauvé in extremis par la détermination d’un inconnu.

Trois ans après, c’est encore dans ma tête.

 Et je me dis à chaque fois…

… qu’une seule personne peut tout changer.
 … qu’un “je vais essayer” vaut parfois mille procédures.
 … que la générosité silencieuse est plus puissante que la rigidité la mieux formulée.

Et surtout : que nos vies avancent grâce à ceux qui osent encore chercher des solutions quand tout le monde renonce.

🎄 
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Je suis Aurore Petrus. J’aide les dirigeants à décoder LinkedIn et à s’y sentir enfin à l’aise, en 8 semaines pour attirer les bonnes opportunités

Quelque chose me dérange profondément dans la manière dont on résume aujourd’hui le personal branding.

 Et cette gêne s’est intensifiée au fil des derniers mois, à mesure que je parcourais mon fil d’actualité.

J’y vois une idée s’installer, le Personal Branding se réduit à publier des selfies en espérant que la simple exposition de soi tienne lieu de stratégie, d'identité ou même de profondeur.

Et j’avoue que je ne les lis plus.

Non par condescendance, mais parce que je sens la confusion grandir. 

Comme si se montrer suffisait à se révéler. 

Pourtant, le personal branding n’a rien d’un exercice d’apparence.

C’est un travail exigeant, presque intime, qui commence bien avant le premier mot publié et bien au-delà de la première image partagée. 

C’est un effort de cohérence entre ce que l’on est, ce que l’on croit, ce que l’on incarne et ce que l’on souhaite transmettre. 

Et pour être totalement transparente : les posts qui fonctionnent le mieux pour moi ne sont pas ceux où je m’expose, mais ceux où j’expose ma pensée.

C’est sans doute pour cette raison que je ressens, ces dernières semaines, une baisse sensible de qualité dans le fil.

Et puisque la confusion persiste, je vous propose ceci.

Pour celles et ceux qui désirent travailler leur personal branding autrement  avec plus de profondeur, de cohérence et d’élégance ,je partage aujourd’hui quelques pistes simples pour élever votre présence et révéler ce qui vous distingue réellement..

Bonne lecture 😊 👇

Personal Branding

Quand une marque peut-elle retirer son nom de son logo ?

⇾ Réponse courte : Quand elle n’en a plus besoin.
⇾ Réponse stratégique : Quand son symbole parle plus fort que ses mots.

En 2019, Mastercard a fait ce que peu peuvent se permettre : Elle a retiré son nom de son logo 

- Plus de nom.
- Juste deux cercles. 
- Rouge. Jaune. Entrelacés.
↳Minimalisme absolu.

Mais reconnaissance totale.
Pourquoi cela a-t-il fonctionné ?

↳ Parce que tout y était :
- Une identité visuelle quasi inchangée depuis 50 ans
- Une reconnaissance immédiate dans plus de 210 pays
- Un capital de confiance inégalé
- 20 mois d’études confirmant que 8 consommateurs sur 10 reconnaissaient la marque sans son nom. 

Et surtout, rien n’a été laissé au hasard.

Avant de lancer, Mastercard avait déjà testé l’impact du logo seul lors d’événements majeurs comme l’Open d’Australie.

Le terrain était préparé.

Et la marque rejoint ainsi le cercle très restreint des icônes comme Apple ou Nike — celles dont le seul symbole suffit à signer leur nom.

Le public a salué l’élégance du geste.

Mais ne nous y trompons pas.

Ce n’était pas un raccourci.
C’était un aboutissement.

Ce que Mastercard a mis des décennies à construire, aucune jeune marque ne peut le décréter en quelques mois.

Un symbole ne devient langage que lorsqu’il a été mérité.

Le nom rassure, le logo guide, le symbole incarne mais seulement s’il porte une histoire.

Alors avant de vouloir épurer, simplifier, moderniser, posez-vous une seule vraie question: Votre logo est-il assez fort pour parler à votre place ?

Parce qu’un jour, peut-être, votre marque pourra se taire.
Et être encore mieux entendue.

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