Follows

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On Future

Advisory Board Member

CREA - OMNES Education

"Nos chargé·e·s de cours et intervenant·e·s sont tous des professionnel·le·s expérimenté·e·s" ⤵

C’est gratifiant, mais moins que de pouvoir échanger avec des étudiants et partager son savoir.

 Chargé de cours 

Cadschool

Continuer à transmettre les nouvelles tendances en marketing digital & accompagner les apprenants dans la réalisation de leurs projets professionnels au sein de CADSchool (école de référence depuis 1998), c'est - et ça restera - important !

Formateur

Buzz Brothers

La dernière étape d’une belle aventure de 5 ans dans différentes organisations internationales et agences de communication suisses romandes où j’ai fait mes armes dans tout le spectre du digital ⤵

Chez Buzz Brothers aux côtés de Longines, La Vaudoise, Givaudan et la Banque Cantonale du Valais. Chez Wild Solutions, pour de belles PMEs du bassin genevois - et des grands groupes qui souhaitaient se développer sur le marché APAC. 
À l'EBU et à l'ITU, pour des médias publics en Suisse (RTS, RSI, SRF), et en Europe (BBC, RTF, SDR, et vive les acronymes)

C’était incroyable, mais il était temps de passer aux choses sérieuses avec Follows pour donner aux entreprises la croissance qu'elles méritent sur Instagram.

Expert en marketing digital 

European Broadcasting Union (EBU)

Project Officer (VR and Esports)

International Telecommunication Union

Project Officer (World Summit on the Information Society)

I help my clients to achieve their objectives by using Marketing+Digital+Tech as business growth levers 🚀

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💌 : lucas@follows.ch
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À très vite.

Lucas Guillermin

Creative Nomads Media OU

Buy & Sell Trusted Websites (content, e-commerce) & SaaS the Easy Way.

Founder - DotMarket.eu / Duuce.com / Below50.eu

Caniprof.com

Édition de sites internet & services dans le domaine Canin 
Certificat d'éducateur Canin Comportementaliste (Canidélite Mai 2019)
Certificat ACACED (Juillet 2019)

Co-Fondateur & Educateur Canin Certifié

MVP Limited

Founder

Duuce

Duuce is the 1st marketplace dedicated to buying & selling newsletters.
Full due diligence & secured sale process.

Co-Founder Duuce.com

Grange Holding / Firebrandaffiliates.com

Affiliate Marketing & Business Development Manager

Anxa.com

France and International Markets Acquisition Manager

Promotions Manager

Video promotion assistant (Internship)

Auto Entrepreneur

Sales representative

Creative Tours

Sales representative (Internship)

I Curate Profitable Websites & SaaS Businesses to Invest in on DotMarket.eu 🍾

Digital Nomad Entrepreneur.
In 2022, you'll find me very busy growing DotMarket.eu, 1st Full Package French Website Broker Marketplace, Duuce.com (1st one dedicated to buying & selling Newsletters) or Below20.eu (focused on websites valued .... below 20K ;-) ).

Oh yeah... i also edit a bunch of my own sites. For fun, and not to lose my grip on SEO & CRO!

Kévin JOURDAN

Transmission : stop aux illusions. Le vrai problème n’est pas celui qu’on croit.
Bpifrance publie une super étude, mais avec des conclusions qui questionnent :
 
- 370 000 entreprises à transmettre d’ici 2030.
- 26 000 transmissions réalisées en 2024 pour 74 000 potentielles.

On en conclut assez rapidement : “qu'il manque des repreneurs”.

Mais pour moi, pas vraiment...
Le marché est surtout mal défini.

1️⃣ Vendeurs pas prêts ? C'est VRAI.
Repreneurs pas prêts ? Encore plus vrai !!
Sur le terrain, je vous passer des fiches de cadrage sorties tout droit d’une formation express… Des thèses d’investissement copiées-collées. Des repreneurs qui veulent acheter une entreprise avant même de savoir lire un P&L ou compris dans quoi ils se lancent...

👉 Le manque de préparation est des deux côtés.
Pas étonnant que ça ne matche pas.

2️⃣ Le financement ? Le vrai mur du marché.
L’étude le dit : obstacle n°1 pour les repreneurs.

Sur le digital, c’est encore plus simple : les banques sont larguées.
Elles financent volontiers une boulangerie au BP bancal… mais refusent un business rentable, scalable, propre, juste parce que l’actif est immatériel.

👉 Tant que les financeurs n’auront pas rattrapé leur retard sur le digital, le marché restera bouché (au moins sur ce secteur).

3️⃣ 74 000 entreprises “à céder” ? Faux débat.
Le vrai sujet, c’est la "VENDABILITÉ" 
(pas sûr que ce mot existe..)

Une entreprise “à transmettre” ≠ une entreprise “vendable”.
Avec 1 ou 2 salariés, et un dirigeant au centre de tout… ce n'est pas un business. C’est un métier. Et un métier ne se vend pas.

Le goulot d’étranglement est là : on additionne dans les statistiques des entreprises structurellement invendables, ce qui donne l’illusion d’un “potentiel énorme” non exploité.

👉 Ce chiffre doit être nettoyé.
Si on retire les entreprises non transmissibles, le marché devient immédiatement plus lisible… et beaucoup moins alarmiste.

Mon point de vue ?
Le marché n’est donc pas tant que ça en manque de repreneurs.
Il manque avant tout de préparation, de financement, et de réalisme.

Le jour où :
- les dirigeants commenceront à préparer 2 à 3 ans avant,
- les repreneurs travailleront sur de vraies thèses d’investissement,
- les banques comprendront enfin le digital,
- et où on arrêtera de compter les entreprises invendables comme des “opportunités”…

… le marché de la transmission fonctionnera enfin comme il devrait.
En attendant, on navigue dans la confusion. Et c'est assez logique.

Source de l'étude en commentaire.

JUST IN ! 🚨 
Shine x Cegid : le deal à 1 milliard qui dit (beaucoup) plus que ce qu’il montre

Et non, ce n’est pas “une acquisition fintech de plus”...

C’est un vrai, joli move structurant dans la bataille pour contrôler le cockpit financier des TPE européennes.

L’histoire est folle :

 2017 → Shine naît pour simplifier la vie des freelances
 2020 → racheté par Société Générale (41 M€)
 2024 → revendu à Ageras (131 M€)
 2025 → revendu à Cegid pour 1+ milliard €

🤯 En 7 ans : x24 de valo + 400 000 clients pros + rentabilité affichée (alors même que le passage par la case SG semblait être un échec, mais finalement plutôt pour la banque que pour Shine :) )

Mais le vrai sujet est ailleurs.

Ce que Cegid achète vraiment :

- Une brique compte pro + paiements (ce qui manquait à son stack)
- Un accès direct aux flux financiers des TPE (le nerf de la guerre)
- Une base massive de pros à connecter à ses solutions compta/paie
- Le raccourci stratégique pour rivaliser avec Qonto, Pennylane, Indy & Visma

Depuis 3 ans, on observe le même mouvement de fond : les banques veulent devenir logiciels, les logiciels veulent devenir banques, et la facturation électronique 2026 agit comme accélérateur obligatoire.

Le marché se rééquipe, et celui qui propose la suite complète gagne la décennie !

💡 L’analyse Dotmarket

Ce deal marque un changement de paradigme :
 
👉 La valeur ne se situe plus dans le compte pro, mais dans le workflow complet : facturation + paiements + compta + paie + fiscalité + reporting.

 👉 Contrôler les flux = contrôler la donnée = contrôler l’IA.

 👉 Les TPE veulent un seul outil, pas cinq.

Cegid n’achète pas Shine.
Cegid achète sa PLACE dans la course pour devenir l’OS financier des petites entreprises européennes. Et ce n’est que le début !

💥 “Shine fait x24” : joli titre… mais mauvaise analyse.
On lit partout que Shine aurait été revendue 1+ Md€ après avoir valu 41 M€ en 2020. Mais dans la réalité, cette "simplification" de l'histoire n'est pas juste.

(Et oui, je plaide coupable d'avoir moi aussi résumé l'opération à cela pour faire "simple" et focaliser mon analyse sur la structuration du deal VS son prix 🙃)

Mais il est intéressant de creuser pourquoi ce multiple est erroné aujourd'hui.

En fait, n’est pas la même société.
Et le multiple x24 n’existe pas.

Prenons 2 minutes pour regarder les vrais chiffres.
(Promis, c’est simple 👇)

1/ Shine France = x3,2 
Les deux seules valuations publiques concernent Shine France :

- 2020 : Société Générale rachète ~41 M€
- 2024 : Ageras rachète ~131 M€
- Le multiple réel du dernier rachat est donc de x3,2.

Et le milliard annoncé hier n’a donc jamais concerné Shine France seule.

2/ Ce que Cegid rachète en réalité : Shine Group (ex-Ageras)

En 2024, Ageras :
- rachète Shine France
- fusionne ses 10+ acquisitions
- rebrand tout le groupe sous la marque Shine !

Donc Shine 2025 = Ageras Group consolidé, soit :
- 90–100 M€ de revenus
- 400k clients pros
- 7 pays
- 400 salariés
- Valo pré-rebrand estimée : 250–300 M€

👉 C’est CET ensemble qui part chez Cegid pour 1+ Md€.

3/ Le vrai multiple est donc… x3 à x4
1 Md€ / ~250–300 M€ = x3 à x4

Ce qui est toujours un excellent multiple
Mais un multiple de groupe consolidé, pas de startup early-stage.

Et le “x24” vient d’une confusion (ou d'une simplification de l'histoire) entre évolution d’une marque et performance financière d’une entité.

Cela n'enlève rien cela dit à ce qui est pour moi un très joli coup de consolidation pour Cegid, et à la réalité du marché (voir analyse d'hier en commentaire)

Camille Wong : ravi de discuter du positionnement de Dotmarket 😆 
Mais je prends avec plaisir la citation dans cet article sur les Echos.

Content d'y retrouver le fruit de mes 6 dernières années de boulot, aux côtés de Captain - Reprendre pour mieux entreprendre, Alvo.market ou encore France Reprises pour ne citer qu'eux.

Tout le monde pense encore que Société.com est un “simple site d’info légale”.
C’est une erreur. Voilà pourquoi :

Depuis 2022, Société.com n’exécute pas une roadmap produit.
Le groupe exécute une thèse M&A très intéressante et stratégique :

✅ IN France d’abord (impact territorial, extra-financier).
✅ Puis Reverse Vision, annoncé cette semaine (Easypics, B-Reputation) : achats, fournisseurs, conformité, ESG.

Sur le papier, un deal à 5–7 M€ de CA en plus.
Dans les faits : Société.com double de taille et change de dimension.

👉 Ce qu’ils build n’est pas un produit.
👉 C’est une infrastructure data.

Avec la CSRD et l’IA B2B, la donnée légale seule ne suffit plus.
Il faut de l’extra-financier, du structuré, du comparable, du “IA-ready”.

Et peu d’acteurs peuvent aligner :

✔️ 26 ans d’historique,
✔️ 13,5 M d’entreprises couvertes,
✔️ 10 M d’utilisateurs mensuels,
✔️ des briques data métiers rachetées et intégrées.

La stratégie est lisible :

✔️ agréger des verticales data critiques,
✔️ les connecter à une audience massive,
✔️ puis industrialiser via API, scoring et agents IA.

Mais c’est là que ça devient intéressant.

Société.com n’est toujours PAS :

❌ un outil de valorisation M&A,
❌ un lecteur de qualité business terrain,
❌ une marketplace cédants / acquéreurs,
❌ un outil de décision stratégique clé en main.

Et c’est précisément là que le jeu M&A s’ouvre.
Data marketing, valorisation d’entreprise, transmission, immobilier, risk, marketplaces…

Les briques manquent encore.
La plateforme, elle, est prête.
La vraie question n’est plus s’ils vont continuer à acquérir.
C’est ce qu’ils vont décider de devenir...

Et pour ça, un indice fourni par Guillaume Berthault, CEO de Societe.com : 
"Nous sommes intéressés par des composantes de data marketing, de valorisation d'entreprise, de marketplace entre cédants et acheteurs, et en immobilier ».

Alors, vous misez sur QUI pour les prochaines opérations ?

🏴 Black Friday, c’est génial pour le chiffre d’affaires.
Mais pour analyser un business ? C'est terrible si tu ne sais pas quoi regarder..

Chaque année, même scénario :

Un fondateur arrive en Q4 (ou début Q1) pour vendre, exhibe un mois “historique”, et s'attend à une valorisation explosive.

La réalité, c’est que tout business qui concentre une part disproportionnée de son CA sur novembre doit être retraité.

Sinon, on ne valorise pas une entreprise : on valorise un évènement.

Voici les retraitements indispensables côté analyste :

1️⃣ Revenir au “run rate normalisé”
Black Friday fait partie de l’activité, bien sûr. Mais il ne doit jamais servir de base. On l’intègre dans le CA annuel (performance réelle), mais on l’exclut du run rate mensuel (non représentatif). 

2️⃣ Neutraliser la marge dégradée par la promo
Le CA bondit. La marge plonge.... Un Black Friday réussi peut faire croire qu’un business est solide alors qu’il s’appuie sur des remises destructrices. On recalcule donc la marge unitaire hors rabais pour mesurer la rentabilité structurelle.

3️⃣ Séparer les clients opportunistes des clients cœur
La base client gonfle artificiellement. Mais combien reviendront à prix normal ?
On segmente, on nettoie, et on fait remonter un taux de récurrence crédible, pas un taux dopé aux -40%.

4️⃣ Sortir un CAC réellement représentatif.
Pendant BF, le CAC chute… et tout le monde se raconte des histoires.
Les intentions d’achat explosent, les ROAS sont dopés, les campagnes ne reflètent pas la réalité. On recalcule donc un CAC structurel hors BF (février, avril, juin…) plus réaliste.

5️⃣ Retraiter l’EBITDA du “festival de novembre”
Plus de commandes → plus de coûts logistiques, plus de retours, plus de SAV.
Un EBITDA BF n’a aucun sens pour une valorisation. On isole l’effet exceptionnel et on remonte un EBITDA normalisé, exploitable pour un multiple.

Pourquoi c’est clé ?
Parce que vous n’achetez pas une performance événementielle.
Vous devez acheter une machine opérationnelle toute l'année.

Aujourd’hui j’accompagne ma compagne au Salon du Livre de Colmar.

Elle prépare des interviews d’auteurs et autrices pour une radio locale, et j’ai réalisé qu’elle fait plus de recherches pour un entretien que certains acquéreurs pour un deal !!!

Ça m’a fait sourire. 
Et réfléchir.

Parce qu’au fond, comprendre quelqu’un, un auteur ou un fondateur, ça demande la même chose :

un peu de curiosité, un peu de rigueur, et l’envie sincère d’aller au-delà de la première impression.

Un bon rappel pour attaquer la semaine.

(Et je crois que je vais lui demander de créer un playbook de « première rencontre » entre acheteur et vendeurs car elle est vraiment forte pour les ice breakers et les questions qui font se sentir compris ! 💛)

Dernière ligne droite !
La semaine prochaine, on aligne les offres sur l’un des dossiers les plus passionnants de cette fin d’année : 🤺 ⚔️ 

Et ce qui m’impressionne le plus sur ce dossier, c’est la diversité et la qualité des profils repreneurs qui se présentent :

✅ Repreneurs individuels : motivés, très terrain, chacun avec une thèse d’exploitation très claire.
✅ Groupes sectoriels : qui voient dans ce business un relais de croissance naturel.
✅ Fonds d’investissement : attirés par la récurrence, la croissance organique et la position ultra-dominante du site.

Trois visions. Trois stratégies. Une seule cible.

Qui gagnera ?

🎯 Rappel du dossier : la référence française des équipements d’Arts Martiaux Historiques. Un site créé en 2013, devenu la marque de confiance d’une communauté passionnée :

 • 226 clubs partenaires en Europe
 • 4,9/5 sur plus de 2 000 avis
 • 32% de récurrence… sans programme fidélité
 • Croissance +28% YoY
 • 1,4M€ de CA en 2024 (1,75M€ estimé en 2025)
 • 55% des ventes à l’international

Un modèle léger, rentable, organique, avec une marge d’EBE de 31% et un potentiel de développement encore très peu exploité : marketing digital quasi absent, base email dormante (17K), social media sous-optimal, marque propre à développer, logistique automatisable…

Et ça y est, on entre dans la phase la plus intéressante d’un process : celle où chaque repreneur met sa vision sur la table.

📍 RDV la semaine prochaine pour l’alignement des offres.

(Toutes les données du dossier ont été vérifiées & validées par Dot+ (by Dotmarket).)

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