Florent Dal Ben-Salles's Linkedin Analytics

Il y a 3 semaines mon compte Facebook Ads a été suspendu avec +10 clients et des centaines de milliers d’euros bloqués dessus. Je termine une réunion, je regarde mes mails : « Votre compte est suspecté d’être faux, il est désactivé » J’ai une dizaine de clients avec qui je bosse depuis des années pour certains qui dépensent +50.000€/mois en ads. Et aucun moyen de modifier quoi que ce soit. Après des jours à contacter le support, la réponse tombe « On ne peut rien faire. Si un bot bloque le profil personnel, l’accès est perdu » Sans profil, je ne peux pas gérer de pubs. Donc je perds mon job. J’ai des charges à payer, mes clients qui s’impatientent. Des pubs qui tournent sans personne derrière. Et aucun moyen de régler ça car ça ne dépend pas de moi. À ce moment-là, je peux tout perdre, pas car je suis mauvais. Mais parce qu’un robot a décidé de me bloquer et potentiellement de me faire perdre mon job. Heureusement, j’avais déjà anticipé ce scénario. Un 2e profil Facebook dispo (même si pas autorisé normalement) Des accès partagés avec mon équipe. Et surtout, un business qui résiste à ce genre de coup dur. Si j’avais pas eu de plan B, j’aurais pu perdre tous mes clients et me retrouver sans salaire du jour au lendemain. En me mettant à mon compte, j’ai compris qu’être bon dans son métier ne suffisait plus. Faut surtout penser comme un entrepreneur, pas juste comme un expert. Facebook c’est pour quand la possibilité de gérer un compte pro sans passer par un profil perso, comme sur Google ? Maintenant je dois gérer mes clients sous le prénom Ganesh. J’avoue je préférais quand même Florent. PS : je n’ai toujours pas récupéré mon vrai profil Facebook, je suis toujours banni.

La TVA sur les formations, c’est une absurdité. Bonne nouvelle : on vient d’en être exonérés. Après 2651 documents envoyés, le statut d’organisme de formation validé, la certification Qualiopi, on a enfin obtenu le 0% TVA. Toutes nos formations sont maintenant 20% moins chères. Plus besoin de payer la taxe féodale pour apprendre un vrai métier. Avant de lancer la boîte, on a hésité à s’expatrier comme beaucoup de nos concurrents. Moins de paperasse, plus de marge mais on n’est pas là pour gratter 3% et faire des TikTok de Bali. Si on veut être la référence en formation Media Buying, on peut pas esquiver l’administratif, ni fuir le pays à la moindre difficulté. Et non, c’est pas "juste de l’argent qu’on collecte pour l’État". C’est surtout 20% de plus sur la facture pour le client. Ces 2 dernières années j’ai eu quelques sujets avec l’administration française, oui c’est lourd parfois, non c’est pas facile. Mais on a joué le jeu et aujourd’hui, ça paye. Fier aujourd’hui de rendre nos programmes plus accessibles, sans baisser le niveau. Toujours avec une seule obsession : former les meilleurs experts Media Buying du marché et changer des vies. Merci les copains de la DREETS 🙏🏻 PS : Une autre grosse annonce arrive cette semaine. En attendant, -15% pendant 24h avec le code TVA15 sur TOUS nos programmes valable aussi sur le bootcamp du 16 juin. (Il reste 9 places) ici : https://lnkd.in/efasXYXQ

Rappel important : tout le monde peut générer +100k€/an, sans équipe, sans bureau, avec une très bonne marge en y passant 10h par semaine. J’écris ce post de chez moi, j’ai ouvert mon ordi à 13h, j’ai 0 réunion je finirai vers 17h pour aller à la salle et dimanche je reviens au Maroc. Sur les 12 derniers mois j'ai encaissé 136k€ avec un projet qui à la base était un side business. Et si on parle en "facturé" on est plus près des 200k€. (Mais comme on est sur LinkedIn on va parler encaissé) Arrêtez de croire que gagner de l’argent, c’est forcément compliqué. Argent = offre > demande > problème Le reste c’est ton cours de marketing de 3e année.

Si tu es RH et que tu bosses dans les Ads, tu peux nous aider. On prépare un module (live + vidéos) chez Ades Bootcamp pour aider nos apprenants à décrocher un CDI en agence / annonceur, l'idée est de partager les bons réflexes côté recrutement, ce qui fait vraiment la différence (Cv, entretien...) (C'est rémunéré) Si tu connais un(e) RH, tag-le/la en commentaire 🙏 Merci les boss!

En France tout le monde parle de Creative Strategist. Mais personne ne sait vraiment ce que c’est. Hier pendant un audit de compte Meta, je tombe sur une marque qui a investi 20.000€ dans une grosse prod mais 0€ sur la stratégie créative. Et comme des centaines d’autres, elle s’étonne que ça ne convertit pas. Dans 90% des cas, le problème c’est pas la vidéo. C’est juste le manque de stratégie créa avant. Car non, un script écrit sur ChatGPT + 3 pubs copiées dans la bibliothèque Meta ça ne suffit pas pour performer sur la plateforme. → Il faut un vrai process. → Il faut un Creative Strategist. → Il faut une personne qui pense. Chez Ades Bootcamp, on a formé des centaines de Media Buyers. Et on cherchait notre Dara Denney française pour créer la première vraie formation en France pour (enfin) faire des pubs qui convertissent. On l’a trouvée : Elisabetta SPERANZA. Lead Creative Strategist chez DHS Digital, l'experte Crea derrière des dizaines de marques qui explosent sur Meta. (C’est d’ailleurs elle qui nous a fait exploser les ventes du Bootcamp en août dernier avec une seule vidéo UGC en collab avec le boss Adrian Ravaute) Dans cette formation, elle partage tout son process : +3h de contenu simple, actionnable, sans bullshit pour toutes les marques qui veulent faire des pubs qui performent. Pour (enfin) devenir Creative Strategist : https://lnkd.in/edqURqhH 🎁 Offre de lancement : -50 % pendant 24h avec le code CREATIVE50

90% des freelances SEA perdent de l'argent à cause de ces problèmes : Depuis un an, j’accompagne des dizaines de freelances chaque semaine avec Ades Bootcamp. Et je reviens toujours aux 3 mêmes obstacles qui freinent de super profils à maximiser leur revenu : → Le problème du facteur : T’as refait ton profil Malt 10 fois, investi dans une bannière LinkedIn avec des éclairs, t’as même mis une cravate rouge sur la photo de ton site. Et t’attends qu’on vienne sonner chez toi comme ton colis Amazon. Mais le client il sait même pas que t’existes. Pire : il connaît mieux tes concurrents que toi. (Alors que t’es sûrement meilleur) Tu dois pas être la boulangerie qui refait la déco. Tu dois être celle qui agrandit le parking. → Tu veux “pas être trop cher”. Tu balances un prix 40% en dessous du marché en pensant que ça va rassurer. Mais tu ne vends pas plus, tu vends moins bien. Ton prix ne doit pas refléter ton temps. Il doit refléter ce que tu peux apporter au client. La plupart du temps, les freelances se trouvent trop chers simplement parce que leur offre n’est pas structurée. → T’as pas de marque personnelle Tu veux qu’on te fasse confiance mais t’as rien publié depuis 2019. - Aucun point de vue. - Aucune étude de cas. - Aucune trace de ta méthode. Aujourd’hui, c’est pas le meilleur qui gagne. C’est celui qu’on voit et qu’on comprend rapidement. Lance ton podcast, crée ta newsletter, commence à exister. En 5 ans, je suis passé de total inconnu à +170 missions sur Malt en Google Ads, le lancement du 1er bootcamp Media Buying en France et structuré mon activité de prestataire SEA entre 7k€ et 15k€/mois. Les 24 et 31 mai à Paris, j’organise le 1er bootcamp en présentiel pour aider les freelances à lancer leur activité SEA (et enfin en vivre). Il y a 15 places disponibles, tout se passe ici : https://lnkd.in/ezacN8kb Je vous réponds à tous dans la journée.

Dire que les meilleures missions ne sont pas sur Malt, c’est une excuse pour ceux qui n’en trouvent pas. Parce que les meilleures missions pour Jean ne sont pas les mêmes que pour Julie. Et inversement. Je vois souvent des posts qui dénigrent Malt, ou des consultants frustrés qui méprisent les freelances qui utilisent des plateformes. Comme si avoir besoin d’un canal pour trouver des clients, c’était un aveu d’échec. C’est faux. La vraie question, c’est pas où tu trouves tes missions. C’est : → Est-ce que tu livres bien ? → Est-ce que tes clients sont satisfaits ? → Et toi, est-ce que ça te convient ? Le problème ce n’est pas la qualité des missions sur Malt : c’est de comprendre pourquoi ton profil « d’expert » n’attire personne. Sans Malt, j’aurais jamais quitté mon CDI, jamais lancé mon entreprise. Oui, toutes les missions n’étaient pas géniales. Mais ça m’a permis de démarrer. Le plus drôle, c’est que ceux qui critiquent sont souvent eux-mêmes sur Malt. Juste sans mission.

J’ai aidé +100 freelances SEA à décrocher leur première mission, voici les 5 points qui font (vraiment) la différence : #1. Travailler sur des études de cas. Quand tu parles à un client il cherche 2 choses : - Est-ce que t’es compétent  - Est-ce que t’as des chances de réussir la mission ? Pourtant la plupart des freelances n’ont aucune étude de cas à présenter. Crée-en une simple une fois et elle te servira des dizaines de fois. #2. Trouve ta première mission le plus vite possible. Si tu te lances en freelance, alors oui : ton profil est éclaté. Mais si tu attends 6 mois pour trouver un client, dans 6 mois il sera toujours éclaté. Trouve un premier client, enclenche la machine. On s’en fiche que ce soit le mécanicien du coin. #3. Systématiser ton process freelance. T’as signé ton premier client, bravo. Maintenant, réfléchis à tout ce que tu peux automatiser : devis, emails, dashboard.. Tu gagneras du temps et sera plus serein. Si tu es confiant, le client le sentira. Si tu doutes à chaque étape, il le sentira aussi. #4. Améliorer ta vente. Ton objectif n’est pas de savoir lancer une campagne. C’est de vendre une prestation. Et tu le vends à quelqu’un qui a peur de se planter donc tu dois le rassurer. En 5 ans, savoir me présenter en appel m’a plus servi que de savoir lancer une campagne display. #5. Augmenter tes prix tous les 3 closings Ton prix, c’est ce qui te fait vivre. Tu dois l'augmenter vite. → Toutes les 3 signatures tu rajoutes +50€ / 100€. En plus ça te permet de connaître ton prix d’entrée et de l’annoncer sans bégayer. C’est un bon modèle au début, ensuite tu peux aller sur des pourcentages sur le spend. Si tu es bloqué en freelance aujourd’hui, c’est pas à cause du marché. C’est à cause de ton process.

Ma chasse d’eau m’a rappelé une leçon business. Vendredi 17h je pars en weekend, ma chasse d’eau se met à fuir. Je cherche un plombier en urgence. Premier appel, j’explique vaguement : "Je sais pas d’où ça vient, ça fuit, ça fait du bruit" Il vient, regarde 15 min, pose son diagnostic, devis : 600€. Je paie les 35€ de déplacement. Merci, au revoir. Deuxième appel, cette fois je demande une fourchette de prix avant le déplacement : "Tout dépend de la fuite, mais entre 400 et 700€" Je reprends le premier devis et essaye de comprendre ce qui est écrit, je répète 2-3 fois mon discours et j’appelle un troisième plombier avec ma meilleure voix d'expert en chasse d'eau. "Bonjour, j’ai le mécanisme qui est mort sur un WC suspendu, modèle Geberit. Je suis au boulot et je finirai sûrement trop tard pour acheter la pièce. Vous l’avez ? Et si oui, combien pour la pose ? Rien d’urgent, on peut faire ça demain matin" Il me dit qu’il vérifie, puis me rappelle 10 minutes plus tard : "Je l'ai, pour 100€ je peux passer demain à 11h" Même problème, même job. Mais pas le même cadre. L'inverse fonctionne aussi avec un client. - "Je fais du Google Ads" ne déclenche rien. - "J’ai 5 ans d’expérience en agence, accompagné 40 clients en SEA avec une double compétence Ads & tracking", là on t’écoute. Pourtant, c’est le même service. Mais pas la même posture ni le même traitement derrière. Bref, les mots sont importants, même pour une chasse d’eau.

J’ai accepté de bosser nuit et jour pendant trois mois sans toucher un centime. Aujourd’hui, ça m’a rapporté 133 000€. Un peu de contexte : J’accompagne des boîtes comme Lacoste, Suez depuis 6 ans sur Google Ads, d’abord en CDI dans des top cabinets parisiens, puis en freelance. Je gagne entre 7k€ et 10k€/mois à mon compte en SEA, mais je suis enfermé dans un même schéma : → Chercher de nouveaux clients → Lancer les campagnes → Faire les weekly Et ça, tous les mois depuis des années. J’avais pas démissionné de mon CDI pour vivre à Bali et faire des posts LinkedIn. Mais parce que je voulais construire quelque chose de plus grand, avoir plus d’impact et aider encore plus de monde. Le freelance, c’était mieux. J’adorais accompagner des boîtes, piloter leurs campagnes. Mais je savais que je voulais aller plus loin. Alors j'ai lancé mon entreprise. Et je dois ces résultats à une règle simple : → Continuer de travailler des mois sans voir d’argent rentrer Quand j'ai démarré, j’avais 5 mois de loyer d’avance sur mon compte. J’ai mis mes missions en pause et je me suis concentré à 100% sur le projet. Un seul objectif : lancer une première session. Aujourd'hui Ades Bootcamp explose on est à la 6e session et si tu es dans le même cas que moi il y a 1 an, pose-toi trois questions : - Combien de mois tu peux tenir sans argent ? - Es-tu prêt à bosser sans rien au début ? - À quel moment tu décides d’arrêter ? Sinon si tu vas droit dans le mur. Mais si tu tiens, tu verras que t’étais à deux coups de pioche du trésor. Merci au Florent de 2024 d’avoir continué de creuser. On dit souvent que le plus dur, c’est de commencer. Pour moi, c’est de continuer quand rien ne rentre dans le portefeuille.

Je suis la preuve qu’un bulletin de me*** ne veut rien dire. Ce bulletin, c’est celui de ma 1re année de BTS, obtenu après que toutes mes demandes post-bac ont été refusées. À ce moment-là, je viens de passer 3 mois à ramasser des asperges dans un champ payé au black pour 500€, je ne sais pas où je vais et mes parents s’inquiètent. En faisant mes cours à l'intermarché du village je croise un ancien pote qui me dit qu’il a été accepté dans un nouveau BTS qui vient d'ouvrir. Pour moi ce BTS semble inaccessible. J’ai des notes très moyennes, aucun dossier solide. Mais je sais pas pourquoi, je décide d’y aller. J'envoie pas de CV, je postule pas en ligne. Je me déplace et je leur explique que je n’ai plus d’alternative, que cette formation est la seule suite "logique" à mon parcours. (même moi je sais pas ce que je fais) Je passe un entretien. On me demande une lettre d’engagement sur le comportement. Je la rédige et je suis pris. Pendant deux ans, mes résultats ne brillent pas. Mais ce BTS me donne accès à un bachelor, puis un master et le CDI en agence qui me permet aujourd'hui d'avoir lancé Ades Bootcamp et de vivre une vie que j’aurais jamais imaginée. (À tous les parents qui voient les mauvaises notes de vos enfants : dites-vous que ça ne dit rien de leur potentiel. Rien de ce qu’ils sont capables de faire une fois sortis du cadre) Je retiens 3 choses de cette expérience : - Le système scolaire ne mesure rien d’essentiel - Quand tu veux un truc, ne laisse pas le choix - Le résultat qui compte plus que le chemin Merci le Lycée St-Joseph, promis j'ai écouté vos conseils. C’est pour ça que j’ai lancé Ades Bootcamp : apprendre un vrai métier, peu importe d’où tu pars, pour lancer ta carrière dans le media buying la 7e saison commence le 16 juin : https://lnkd.in/efasXYXQ