911.Ops

Founder

Veesion

GTM Engineer computer vision

Transformed €1M in ARR into a scalable €10M ARR company within 24 months.

Revenue optimization achieved by enhancing the efficiency of teams, processes, and sales tools in a B2B SaaS environment:

Achievements:

- Alignment of information within revenue teams (BDR, KAE, KAM, CSM, SE, CC)
- Benchmarking and maintenance of the tool stack
- Training of the revenue team
- Ensuring data accuracy and CRM cleansing
- GTM study and expansion strategy
- Design and improvement of processes
- Compensation plan management
- Forecasting and pipeline reviews
- Data analysis and reporting
- CRM administration

GTM Engineer

Kiliba

B2B sales selling a SaaS tool to ecommerce on shopify, woocommerce or prestashop. 

Full-cycle sales from prospecting to closing.

Account executive

Societe Generale Corporate and Investment Banking - SGCIB

Financial Analyst

Rothschild & Co

+ de chiffre, - de friction. J’aligne Sales, Marketing et CS pour scaler sans coûts cachés. RevOps & Automatisation | Ex-startup IA à croissance fulgurante

911.Ops accompagne les startups et scale-ups dans la structuration de leur croissance à travers l’approche RevOps. Nous combinons expertise CRM, data, process et stratégie GTM pour générer de la croissance durable et mesurable.

Nos 3 services clés :

1. CRM Kickstart : Implémentation rapide de Pipedrive, HubSpot avec automatisations essentielles.

2. RevOps Booster : Audit complet, refonte du funnel, KPIs et reporting pour piloter la croissance.

3. Revenue Factory : Accompagnement 90 jours pour transformer votre organisation en machine à revenus alignée et scalable.

Nos abonnements mensuels :
- Support CRM, suivi de performance, automatisations, coaching et itérations stratégiques.

📩 Contactez-nous sur jerome@911revops.com ou découvrez nos offres sur 911revops.com

2023 je lance 911, le 1er collectif de free-lance dédié aux RevOps. Deux ans après, voici ce que je ferais différemment si je devais recommencer 👇

Quand on monte un collectif, le plan est simple :
on regroupe des freelances talentueux, on mutualise les missions, et c’est parti.

Mais compliqué dans sa mise en place, car en réalité, si on ne structure pas, ça plafonne vite.

Voici ce qui a bien marché :

→ Un rituel d’équipe
Un call hebdo le vendredi matin.
Pas pour “reporter”, mais pour partager : avancées, galères, et surtout accueillir des fondateurs et CRO (UK, US…) qui venaient exposer leurs enjeux et leurs outils. Véritable veille collective.

→ Un Slack vivant
Un espace où :
• les missions tombent et chacun se positionne
• on échange des conseils en temps réel
• on garde le sentiment d’appartenir à une équipe, même en freelance

→ Un pilotage fondateur
Je cadre toujours les besoins avec le client, je propose la mission aux freelances, puis je connecte les deux. C’est ce qui garantit que la solution colle vraiment au besoin.

Mais si c’était à refaire, j’irais plus loin :

→ Un onboarding renforcé côté client
Montrer concrètement les missions déjà réalisées dans des contextes similaires.
Permettre au client de se projeter dès le départ.
Et surtout cadrer ensemble une solution adaptée, ce qui aligne naturellement avec un modèle au projet plutôt qu’au TJM.

→ Un onboarding renforcé côté freelance
Une knowledge base solide, documentée mission après mission.
Comme le font les cabinets de conseil, ça permet à chacun d’arriver avec un socle commun, d’apprendre plus vite et de monter en compétences en continu.

→ Passer du TJM au modèle projet
Le TJM crée une friction : le client veut aller vite, le freelance veut plus de jours.
Le modèle projet aligne les intérêts et clarifie la valeur dès le départ.

Un collectif qui veut scaler doit penser comme une boîte SaaS :
- process, 
- documentation, 
- standardisation.

Sinon, ça reste juste un réseau de freelances.

___

Jérôme Tabouis 🧩

Jérôme Tabouis 🧩

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Si je devais auditer un Go-To-Market en 2h, je commencerais ici 👇

Beaucoup d’équipes se fixent des objectifs de croissance sans savoir si leur machine est calibrée pour les atteindre.

Résultat : des forecasts biaisés, des réunions de pipe inutiles, et une équipe qui travaille sans savoir où sont les vrais goulots d’étranglement.

Un diagnostic GTM sérieux, ce n’est pas une “opinion”. C’est un calcul.

Voici les 4 étapes que je regarde systématiquement :


1 – Cartographier le Bowtie

Je trace le parcours complet, avant et après la signature.

Chaque étape a 3 variables clés :
	•	Volume (combien d’entrées à cette étape)
	•	Conversion (le % qui passe à l’étape suivante)
	•	Vélocité (le temps Δt moyen pour franchir l’étape)

→ Sans cette cartographie, impossible de voir où la machine bloque.


2 – Calculer la vélocité du pipeline

La formule est simple :

Pipeline Velocity = Nombre d’opportunités × Taux de conversion × Deal Size moyen ÷ Durée du cycle de vente

→ Si cette équation ne te donne pas ton objectif, tu as déjà la preuve que ton plan est irréaliste.


3 – Identifier les écarts critiques

Je compare ce qui devrait se produire à ce qui se produit réellement :

	•	Un taux de conversion trop bas sur une étape précise
	•	Un cycle de vente qui s’allonge au lieu de se réduire
	•	Des clients qui entrent mais ne réachètent pas (churn masqué)

→ Ces écarts ne sont pas des “symptômes” : ce sont des priorités d’action.


4 – Définir les 2–3 indicateurs de pilotage

Un diagnostic n’est utile que si on choisit quelques métriques phares pour piloter l’itération.

Exemples :
	•	Taux de qualification → opportunité
	•	Durée moyenne entre démo et signature
	•	Net Revenue Retention (expansion – churn)

Résumé :
	1.	Cartographier le Bowtie (Volume, Conversion, Vélocité)
	2.	Calculer la vélocité du pipeline
	3.	Identifier les écarts critiques
	4.	Définir les indicateurs de pilotage

Un bon diagnostic GTM ne produit pas un rapport.
Il produit un plan de bataille.


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Jérôme Tabouis 🧩

Si je devais expliquer pourquoi 80% des CEOs se trompent sur leur pipe commercial, je le ferais ainsi 👇

Beaucoup de dirigeants pensent que leur CRM reflète la réalité du terrain.
En réalité, il reflète surtout ce que les Sales veulent bien y saisir.

Résultat :
Des prévisions erronées.
Des réunions de pipe inutiles.
Des décisions stratégiques biaisées.

Si je devais repartir de zéro pour fiabiliser un pipeline, je suivrais 4 étapes :

Étape 1 : Nettoyer les données
Un deal sans mise à jour depuis 30 jours ? Il sort du forecast.
Un “deal en négo” sans proposition envoyée ? Ce n’est pas un deal en négo.

Étape 2 : Revoir le process de qualification
Chaque étape doit correspondre à une action concrète et vérifiable.
Pas de subjectif. Pas de “feeling”.

Étape 3 : Automatiser les mises à jour critiques
Rappels de suivi, synchro emails/calendrier, scoring d’activité.
Moins il y a de saisie manuelle, plus le pipe est fiable.

Étape 4 : Mettre en place un contrôle régulier
1h par semaine suffit pour vérifier cohérence et progression.
Le reste doit être automatisé.

Résumé :
1- Nettoyer les données mortes
2- Revoir la qualification
3- Automatiser les updates
4- Contrôler chaque semaine

Un CRM ne doit pas raconter ce qui s’est passé.
Il doit prédire ce qui va arriver.

Taplio

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