Kaio Araujo

Growth Manager @Openeat 🦎 | Alumni @Mantra (ex-GrowthMakers)

L’acquisition ne devrait pas se piloter à l’intuition.
Sans architecture GTM claire, tu perds du temps, des leads et des deals.
→ Chez Architect Ops, on règle ça à la racine.

Avant de lancer ce collectif, j’étais software engineer, puis j’ai fait du growth. Et j’ai compris que ce qui bloque la croissance, ce ne sont pas les idées de campagnes. 

Ce sont les fondations :

❌ Une équipe sans vision sur ce qui convertit vraiment

❌ De l’argent dépensé inutilement en Ads

❌ Des CRM mal paramétrés

❌ L’outbound mal intégré

Bref, un bon système d’acquisition, ça ne s’improvise pas.
Ça se conçoit avec méthode, clarté et rigueur.

Je suis GTM Engineer et fondateur d’Architect Ops, un collectif d’experts et d’engineers tech-first spécialisé dans la conception, l’automatisation et l’orchestration de stratégies Go-To-Market pour les startups B2B.

J’ai passé les 5 dernières années à aider des startups — early stage comme scale-ups — à (re)construire leur moteur d’acquisition de A à Z avec une approche technique, structurée et stratégique.

Désormais, tous nos accompagnements visent les mêmes objectifs :

👉 Faire fonctionner tout le go-to-market comme un système.

👉 Faire gagner du temps aux équipes.

👉 Rendre l’acquisition lisible, pilotable et scalable.

Avant d'exécuté → On conçoit l’architecture.


Nos clients ?

Des startups ambitieuses (early stage ou scale-ups) qui veulent structurer et scaler leur acquisition avec un système fiable, piloté par la donnée et pensé pour durer.

Leur point commun ? 

Elles ont compris qu’n GTM Engineer bien formé, c’est la version complète du sales :

Data + outils + automatisation = l’impact d’une équipe de 10 SDR.

Leurs résultats ? 

✔️ Une vision claire du cycle de vie client, plus de datas éparpillées

✔️ Des équipes qui bossent sur les bons leads, au bon moment

✔️ Des décisions pilotées par la data, pas par l’intuition

Ils nous font confiance : TamTam, Panopli, OpenEat, Bulldozer, Wild Code School, Dealt, 8 Energie.

Des startups ambitieuses qui voulaient structurer leur acquisition — et qui l’ont fait.

Tu l’auras compris :

On ne fait pas du “growth hacking” → On conçoit une architecture GTM capable de scaler.

Prêt à scaler sérieusement ?

📩 Lien dans le profil pour en parler.

Growth Marketer

Dealt réinvente la démarche servicielle des retailers et e-commerçants 🚀

Montage, installation, configuration, entretien ou réparation… Dealt construit, implémente et gère en marque blanche les offres de services des retailers, pour leur permettre de mieux accompagner leurs clients et se démarquer de la concurrence.

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Cher retailers et e-commerçants, il n’y a plus de doute. Pour développer votre stratégie servicielle et transformer votre expérience client :

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Être papa et entrepreneur, on vous vend le rêve.
 
La liberté, l'équilibre, le "tu gères ton temps comme tu veux".
 
Bullshit.
 
Voilà les 5 trucs qu'on ne vous dit jamais :
 
𝟏. 𝐓𝐮 𝐧𝐞 𝐠𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐫𝐢𝐞𝐧, 𝐭𝐮 𝐚𝐫𝐛𝐢𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐞𝐧 𝐩𝐞𝐫𝐦𝐚𝐧𝐞𝐧𝐜𝐞
 
Entre un call client qui déborde, un livrable qui bloque, et ton fils qui pleure parce qu'il veut que TU le couches — tu ne choisis pas.
 
Tu priorises. En speed. Et parfois tu te trompes.
 
𝟐. 𝐋𝐚 𝐜𝐮𝐥𝐩𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́, 𝐜'𝐞𝐬𝐭 𝐭𝐨𝐧 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐚𝐮 𝐜𝐨𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐩𝐢𝐞𝐫
 
Pas assez présent pour ton enfant.
Pas assez focus sur ta boîte.
Jamais assez de temps pour ta femme.
 
La culpabilité devient une constante.
Le truc ? L'accepter. Pas la combattre.
 
𝟑. 𝐋𝐚 𝐟𝐥𝐞𝐱𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́, 𝐜'𝐞𝐬𝐭 𝐛𝐢𝐞𝐧. 𝐌𝐚𝐢𝐬 𝐜'𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧 𝐩𝐢𝐞̀𝐠𝐞 𝐚𝐮𝐬𝐬𝐢
 
Oui, tu peux bosser de chez toi.
Oui, tu peux décaler un rdv.
 
Mais résultat ? Tu bosses tout le temps.
Le soir, le week-end, entre deux biberons.
 
La frontière pro/perso ? Elle n'existe plus.
 
𝟒. 𝐓𝐨𝐧 𝐞𝐧𝐭𝐨𝐮𝐫𝐚𝐠𝐞 𝐧𝐞 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐚 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐦𝐞𝐧𝐭
 
"Pourquoi tu ne prends pas de vacances ?"
"Pourquoi tu travailles autant ?"
 
Parce qu'on construit quelque chose.
Parce qu'on ne peut pas se permettre de lâcher.
 
Mais ça, peu de gens le captent. Même ceux qui t'aiment.
 
𝟓. 𝐂'𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐚 𝐦𝐞𝐢𝐥𝐥𝐞𝐮𝐫𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐚𝐢𝐧𝐭𝐞 𝐝𝐞 𝐭𝐚 𝐯𝐢𝐞
 
Devenir papa t'oblige à être radical.
Couper le bullshit.
Optimiser chaque heure.
Structurer. Déléguer. Automatiser.
 
Résultat ?
Tu deviens meilleur entrepreneur.
Pas malgré la paternité. Grâce à elle.
 
Être papa entrepreneur, c'est pas un équilibre parfait.
C'est un chaos maîtrisé.
 
Et franchement je ne voudrais pas qu'il en soit autrement.
 
Parce que cette pression, elle forge quelque chose de solide.
↳ Une boîte qui tient.
↳ Un système qui scale.
↳ Une vie qui a du sens.
 
C’est les meilleures montagnes russes de ma vie.

On transforme votre Pipeline en Revenus | Co-Founder @ Architect Ops 🧱 | GTM & RevOps

Il y a 5 ans, j'écrivais du code en JS / Python. 
Aujourd'hui, je construit des architectures CRM qui transforment des pipelines en revenus.

Entre les deux : un chemin bordélique mais logique.

Je suis passé de développeur à Growth, puis de Growth à RevOps / GTM Engineer.

Pas parce que j'ai arrêté de coder. 
Mais parce que j'ai compris que la vraie valeur ne résidait pas dans le langage, mais dans le système.

𝐋𝐞 𝐝𝐞́𝐜𝐥𝐢𝐜 𝐝𝐮 𝐝𝐞́𝐯𝐞𝐥𝐨𝐩𝐩𝐞𝐮𝐫

En tant que dev, j'ai passé des années à construire des sites, des apps, des features. 
Mais je me posais une question lancinante : "Pourquoi personne n'utilise ce que je construis ? Est-ce que mes features ont générés du C.A ?"

C'est cette frustration qui m'a poussé vers le Growth. 

Je voulais comprendre comment faire en sorte que ce qu'on construisait génère du résultat.

𝐋𝐞 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐚𝐠𝐞 𝐚𝐮 𝐆𝐫𝐨𝐰𝐭𝐡

J'ai découvert l'A/B testing, les entonnoirs de conversion, l'automatisation marketing, ect.

J'ai compris que mes compétences techniques pouvaient servir : scraping, enrichissement, workflows (surtout avant Zapier), data, ect.

Mais encore une fois, quelque chose manquait.

Le Growth, c'était souvent du one-shot, des campagnes, des leviers activés, des soit-disant "hack", et surtout du marketing avant tout.

Ça marchait. Mais ça ne scalait pas "𝑝𝑟𝑜𝑝𝑟𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡".

𝐋'𝐞́𝐯𝐨𝐥𝐮𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐯𝐞𝐫𝐬 𝐥𝐞 𝐑𝐞𝐯𝐎𝐩𝐬
C'est là que j'ai basculé.

RevOps, ce n'est pas "faire de la croissance". 
C'est construire l'infrastructure qui permet à la croissance de tenir dans le temps.

C'est orchestrer CRM, data, outils et process pour que chaque lead, chaque interaction, chaque donnée serve à faire avancer le pipeline.

Et là, tout s'est aligné.

➯ Mes compétences de dev → pour automatiser, scripter, connecter les outils. 
➯ Mon expérience Growth → pour comprendre ce qui génère vraiment du résultat. 
➯ Ma vision RevOps → pour industrialiser tout ça dans un système cohérent.

Ce que ça m'a appris

Les meilleurs RevOps ne sont pas ceux qui connaissent 50 outils. 
Ce sont ceux qui comprennent comment les relier pour créer un flux qui fonctionne.

Les meilleures architectures GTM ne viennent pas de marketeurs purs ou de sales purs. 
Elles viennent de profils hybrides, capables de penser système et exécution.

Aujourd'hui chez Architect Ops, c'est exactement ce qu'on construit : des machines GTM qui orchestrent Outbound, CRM et Data.

Pas des campagnes mais des systèmes.

Si vous êtes dev et que vous voulez comprendre le business : allez voir du côté du Growth. 
Si vous êtes Growth et que vous voulez scaler proprement : creusez le RevOps.

Le code, c'est un outil. Le système, c'est ce qui transforme l'outil en valeur.

Micode a sortir une vidéo sur Gumloop.
Et je me suis dit : "Tiens, encore un outil d'automatisation."
Sauf qu'en creusant, j'ai compris pourquoi ça fait du bruit.

Gumloop, c'est l'automatisation IA pensée pour ceux qui ne codent pas.
Interface visuelle ultra simple, modèles IA intégrés (GPT-4, Claude, Gemini, Perplexity), 115+ intégrations natives, scraping boosté à l'IA, pas de code à écrire, pas de serveur à gérer.

En gros : tu arrives avec une description en langage naturel, l'assistant IA te génère ton workflow, et c'est parti.

Pas besoin de tout câbler à la main.

Pour une équipe marketing, sales ou customer qui veut automatiser vite sans toucher au code, c'est ultra efficace.

Scoring de leads, enrichissement de data, analyse de conversations TikTok, génération de rapports… tout devient actionnable en quelques clics.

Maintenant, la vraie question : Gumloop ou n8n ?

n8n reste la référence pour les profils techniques. 
Plus de 500 intégrations, possibilité d'injecter du JavaScript/Python partout, self-hosting, contrôle total.

Si tu veux du sur-mesure industriel avec des workflows hyper complexes, n8n l'emporte.

Mais si tu veux déployer rapidement des automatisations IA sans dev, sans friction, sans setup technique… Gumloop fait exactement ce qu'il faut.

Le choix dépend de ton besoin : 
→ Équipe tech / workflows complexes / contrôle total = 𝐧𝟖𝐧 
→ Business team / automatisation IA rapide / no-code efficace = 𝐆𝐮𝐦𝐥𝐨𝐨𝐩

Je vous dit ça aujourd'hui, mais j'attend de voir les divers uses cases du Gumloop.

Le lien de la vidéo en commentaire.

Le K.

Gumloop

Anuj Sharma

Ce week-end, on était à Aix-en-Provence.
 
Christian, Martin et moi.
 
Notre 2ᵉ séminaire fondateurs depuis qu'on a monté Architect Ops.
 
3 jours à bosser non-stop sur tout ce qu'on repoussait depuis des semaines.
 
On a avancé sur des trucs concrets :
 
→ Pacte d'associés : qui fait quoi, qui décide quoi, comment on gère si ça part en vrille.
 
→ Offres : tout remis à plat.
On assume maintenant clairement notre dimension RevOps.
 
→ Session photo avec Hélène Galiana de la Fuente : elle a tout shooté. Photos de team, solo, miniatures YouTube.
En plus, elle a bossé la homepage du site avec nous, bref une boss.
 
→ Le site : on a passé une demi-journée juste sur la structure.
Ça commence à prendre forme.
 
→ Le produit : samedi soir, on a compris qu'on faisait fausse route sur notre produit.
On a tout jeté. On a essayé de dev une V1 dans la nuit.
Spoiler : on était trop cramés, ça n'a pas marché. 😂
 
Je suis rentré dimanche, explosé mais content.
 
Parce qu'en 3 jours, on a posé plus de bases qu'en 2 mois.
 
Passer de freelance à collectif, c'est ça.
 
Tu ne livres plus seul, tu coordonnes. Tu ne vends plus ton temps, tu vends un système. Et tu documentes tout ce qui était dans ta tête.
 
Architect Ops prend vraiment forme.
C'est exactement ce qu'on voulait construire.
 
Merci les gars pour l'aventure. 🫶🏼

J'ai passé 6 mois à mapper plus de 60 signaux GTM pour nos clients.
 La conclusion ? 90% des boîtes utilisent moins de 3 types de signaux pour piloter leur Go-To-Market.
 
Résultat ? Elles passent à côté de dizaines d'opportunités chaque semaine.
 
Parce qu'un système GTM performant ne repose pas sur un seul signal, mais sur l'orchestration intelligente de plusieurs couches de data.
 
Voici comment on structure les signaux d'intent chez Architect Ops :
 
𝗙𝗶𝗿𝘀𝘁-𝗣𝗮𝗿𝘁𝘆 𝗦𝗶𝗴𝗻𝗮𝗹𝘀 → Ce qui se passe dans votre écosystème : utilisation produit, données CRM, contenu consulté, formulaires de contact, intro chaleureuses. C'est la base. Mais ce n'est pas suffisant.
 
𝗦𝗲𝗰𝗼𝗻𝗱-𝗣𝗮𝗿𝘁𝘆 𝗦𝗶𝗴𝗻𝗮𝗹𝘀 → Ce qu'on capte à l'extérieur : stack techno, signaux partenaires, visites du site web, données firmographiques, intro chaleureuses via LinkedIn.
 
𝗧𝗵𝗶𝗿𝗱-𝗣𝗮𝗿𝘁𝘆 𝗦𝗶𝗴𝗻𝗮𝗹𝘀 → Les événements du marché : levées de fonds, annonces d'embauche, activité publicitaire, news sectorielles, intentions de recherche, signaux sociaux.
 
Ces signaux croisés permettent de scorer vos comptes en temps réel et d'activer les bons canaux au bon moment.
 
Le problème des boîtes qui stagnent ?
 
Elles n'ont qu'un seul flux de data.
Elles activent leurs canaux (outbound, inbound, paid) sans contexte.
Elles contactent des comptes froids ou ratent des comptes chauds.
 
Résultat : taux de conversion faible, cycles de vente longs, équipe GTM frustrée.
 
Chez Architect Ops, on construit des machines GTM qui agrègent ces signaux dans Clay ou Cargo, les enrichissent en continu, et les synchronisent avec le CRM via un scoring dynamique.
 
Concrètement :
⚙️ On connecte les signaux techno (Builtwith, Wappalyzer)
⚙️ On track les annonces d'embauche et levées de fonds
⚙️ On surveille l'activité publicitaire et l'engagement contenu
⚙️ On synchronise avec les données First-Party (CRM, produit, marketing)
 
Et on crée un système prédictif qui orchestre vos actions : "Ce compte est chaud maintenant, active ce canal."
 
Pas dans 3 mois.
Maintenant.
 
Parce qu'un bon GTM Engineering, ce n'est pas juste automatiser des canaux.
 
C'est orchestrer les signaux pour activer le bon canal, au bon moment, avec le bon message, sur le bon compte.

Un CRM, ce n'est pas un carnet d'adresses. 
C'est le moteur de votre machine GTM.

Chez Architect Ops, on ne "𝑟𝑒𝑚𝑝𝑙𝑖𝑡" pas un CRM. 
On construit une infrastructure de données.

Voici notre approche en 3 piliers :

𝟏. 𝐃𝐚𝐭𝐚 𝐈𝐧𝐩𝐮𝐭 : 𝐥𝐚 𝐪𝐮𝐚𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐝𝐞̀𝐬 𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐩𝐚𝐫𝐭

Avant même de toucher au CRM, on définit exactement quelles données sont nécessaires pour vos contacts et vos entreprises.

Ensuite, on exporte et on orchestre : 

→ Vérification absolue (nom de poste, entreprise actuelle) 
→ Enrichissement des données manquantes (mail, téléphone, URL LinkedIn, nom d'entreprise) 
→ Dédoublage des contacts (email / LinkedIn ID) 
→ Création automatique d'entreprise si elle n'existe pas dans votre base

𝟐. 𝐎𝐫𝐜𝐡𝐞𝐬𝐭𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 & 𝐃𝐚𝐭𝐚 𝐐𝐮𝐚𝐥𝐢𝐭𝐲 : 𝐥'𝐚𝐮𝐭𝐨𝐦𝐚𝐭𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐥𝐥𝐢𝐠𝐞𝐧𝐭𝐞

On met en place des flux automatiques qui maintiennent votre CRM propre : 

→ Vérification continue des données obsolètes (site web, LinkedIn URL, entreprise active) 
→ Enrichissement des données manquantes (site web, SIRET) 
→ Dédoublage des entreprises (SIREN / LinkedIn ID) 
→ Find people at company pour identifier les contacts sans entreprise

Et le plus important : identification des signaux à faire remonter dans le CRM. 

New hires, job changes, promotions, website visitor, ads engagement... Tout ce qui compte pour vos Sales.

𝟑. 𝐃𝐚𝐭𝐚 𝐀𝐜𝐭𝐢𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 : 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐝𝐨𝐧𝐧𝐞́𝐞 𝐚̀ 𝐥'𝐚𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧

Votre CRM doit alimenter vos équipes en temps réel : 

→ Enrichissement automatique à chaque nouvelle entrée 
→ Détection et mise à jour dynamique des données dans le temps 
→ Mise à jour mensuelle automatique des contacts et entreprises 
→ Alertes et tâches auto pour les Sales selon les signaux ou le scoring

Le tout orchestré avec des outils comme Cargo 🧱, Clay, n8n

Résultat : un CRM qui ne stocke pas. 
Un CRM qui pilote.

Parce qu'au final, votre RevOps ne tient pas sur la quantité de contacts dans votre base. 
Il tient sur la qualité de vos données et la fluidité de vos process.

Et ça, ça se construit. Tous les jours. Avec les bons outils.

Vous avez déjà mis en place ce type d'orchestration dans votre CRM ?

AirOps 𝐯𝐢𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐞 𝐥𝐞𝐯𝐞𝐫 𝟒𝟎𝐌$ 𝐞𝐧 𝐬𝐞́𝐫𝐢𝐞 𝐁.
Et avec ça, un nouveau métier émerge : 𝐶𝑜𝑛𝑡𝑒𝑛𝑡 𝐸𝑛𝑔𝑖𝑛𝑒𝑒𝑟.

Pour ceux qui ne connaissent pas AirOps, ce n'est pas juste un outil de génération de contenu IA.

C'est une plateforme pour créer des agents d'IA qui automatisent vos opérations de données.

Concrètement, AirOps permet de :

↳ Créer des agents IA qui interagissent avec vos bases de données (Snowflake, BigQuery, PostgreSQL) 

↳ Générer et exécuter des requêtes SQL en langage naturel 

↳ Automatiser des workflows multi-étapes avec déclenchements conditionnels 

↳ Construire des outils internes sur mesure (rapports, assistants CRM, dashboards) 

↳ Intégrer ces agents dans vos apps, Slack, ou tableaux de bord via API

Le point fort ? 

Une interface accessible aux non-techniciens via le langage naturel, tout en restant ultra-flexible pour les profils techniques.

En gros, vous transformez vos données en workflows automatisés pilotés par l'IA.

Et c'est là que le métier de Content Engineer prend tout son sens.

On ne parle plus de rédiger du contenu manuellement. 

On parle de construire des systèmes qui génèrent, analysent et optimisent du contenu à partir de vos données.

Growth Engineer → GTM Engineer → Content Engineer. 

Le pattern se répète.

Les spécialistes qui savent orchestrer data + IA + workflow prennent le lead.

La levée de 40M$ confirme une chose : les entreprises veulent des systèmes qui tournent.

Je ferai un post dédié sur ma vision du Content Engineering.

Mais d'ici là : vous connaissez AirOps ? Vous voyez ce métier arriver dans vos équipes ?

Clay, c'est bien plus qu'un "outil d'enrichissement".
C'est le hub central de votre machine GTM.

Pourtant, 80% des boîtes qui l'utilisent restent bloquées sur un seul use case : enrichir des emails.

Dommage. 
Parce que Clay peut orchestrer toute votre architecture Go-To-Market.

Chez Architect Ops, on construit des systèmes complets autour de Clay. 
Pas pour faire joli. 
Pour faire tourner des pipelines industriels.

Voilà un exemple de comment on l'utilise par pôle 👇🏼

𝐒𝐚𝐥𝐞𝐬
sourcing multi-providers (Ocean.io, RB2B…) 
↳ enrichissement téléphone + email
↳ push CRM automatisé.

𝐌𝐚𝐫𝐤𝐞𝐭𝐢𝐧𝐠
identification des visiteurs web (Koala, Userled) 
↳ détection des clics Ads 
↳ qualification + scoring 
↳ création d'audiences custom pour retargeting.

𝐂𝐮𝐬𝐭𝐨𝐦𝐞𝐫 𝐒𝐮𝐜𝐜𝐞𝐬𝐬
monitoring des signaux d'expansion (levées, recrutements, tech stack) 
↳ alerte auto sur les comptes à fort potentiel.

𝐎𝐩𝐞𝐫𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 / 𝐑𝐞𝐯𝐎𝐩𝐬
centralisation des leads inbound (emails, forms, opt-ins, démos) 
↳ routing intelligent vers le bon SDR selon le scoring.

𝐏𝐫𝐨𝐝𝐮𝐜𝐭/𝐆𝐫𝐨𝐰𝐭𝐡 : 
veille concurrentielle automatisée
↳ agrégation des recrutements, lancements produits, news
↳ résumé hebdo généré par IA.

Clay n'est pas un outil. 
C'est une couche d'orchestration.

Et quand il est bien configuré, il devient le cerveau de votre acquisition.

Si vous voulez passer du mode "enrichissement ponctuel" au mode "machine GTM orchestrée", c'est exactement ce qu'on construit.

Les Workflow Clay par pôle

La semaine dernière, je vous parlais d'AirOps, de sa levée de 40M$ et de l'émergence du Content Engineer.
Aujourd'hui, je vous explique ma vision de ce métier.

Le Content Engineer, ce n'est pas un rédacteur qui utilise ChatGPT. 

Ce n'est pas non plus un marketeur qui automatise ses posts LinkedIn.

C'est quelqu'un qui construit des systèmes de production de contenu.

Concrètement, ça veut dire quoi ?

↳ Connecter vos données (CRM, produit, analytics) à des workflows de génération de contenu 
↳ Créer des pipelines qui produisent du contenu personnalisé à scale 
↳ Orchestrer des agents IA qui transforment vos data en articles, emails, landing pages 
↳ Automatiser l'optimisation SEO et les A/B tests sur le contenu 
↳ Mettre en place des déclencheurs conditionnels pour adapter le contenu en temps réel

En gros, le Content Engineer fait pour le contenu ce que le GTM Engineer fait pour l'acquisition :

Il structure un système prédictif et scalable.

Pourquoi ce métier émerge maintenant ?

Parce que les entreprises réalisent que la production manuelle de contenu ne scale pas. 
Et que l'IA seule, sans architecture, produit du volume sans cohérence.

Il faut quelqu'un qui sait : 
↳ Designer des workflows complexes 
↳ Orchestrer plusieurs modèles IA selon le contexte 
↳ Garantir la qualité et la cohérence à grande échelle 
↳ Connecter le contenu aux données métier

C'est exactement le même pattern qu'on a vu avec 
↳ Le Growth Engineer (automatisation de l'acquisition)
↳ Le GTM Engineer (orchestration du système commercial complet)

Maintenant, le Content Engineer industrialise la création de contenu.

Dans 2 ans, toutes les boîtes qui produisent du contenu à scale auront ce profil.

Parce qu'au final, le contenu reste un levier d'acquisition majeur. 
Mais seulement si on sait l'industrialiser proprement.

Sans perdre en qualité. 
Sans perdre en pertinence. 
Avec une vraie architecture derrière.

Petit article d'AirOps sur le sujet en commentaire.

L'IA dans les Sales workflows, tout le monde en parle.

Mais entre le bullshit marketing et la réalité du terrain, il y a un gouffre.

Chez Architect Ops, on a un principe simple : on ne déploie que ce qui fonctionne en production.

Le résultat : 90% des agents IA du marché sont inutiles. Les 10% qui restent changent vraiment la donne.

Parce qu'un agent IA, ce n'est pas juste un outil qu'on branche. C'est une brique dans une architecture complète.

On ne vend pas des "solutions IA". 
On construit des systèmes où l'IA sert un objectif précis : faire gagner du temps, enrichir la donnée, ou automatiser une tâche répétitive.

Quelques exemples concrets qu'on déploie chez nos clients :
→ 𝐓𝐨𝐩-𝐨𝐟-𝐟𝐮𝐧𝐧𝐞𝐥
Lead scoring automatique avec Clay + Perplexity pour identifier les comptes chauds en temps réel.

→ 𝐌𝐢𝐝-𝐟𝐮𝐧𝐧𝐞l
Agents de discovery sur n8n qui enrichissent automatiquement les leads avec des signaux d'intent avant le premier call.

→ 𝐁𝐨𝐭𝐭𝐨𝐦-𝐟𝐮𝐧𝐧𝐞𝐥 : Analyse automatique des "Closed Won" pour identifier les patterns de conversion et ajuster le scoring.

Le truc à comprendre :
Un agent IA seul ne sert à rien. 
Mais intégré dans un workflow structuré, il devient un accélérateur puissant.

C'est exactement ce qu'on fait chez Architect Ops : on orchestre Clay, n8n, Cargo et les agents IA pour créer une machine GTM qui tourne toute seule.

Le GTM Engineer Playbook qu'on applique chez Architect Ops.

Beaucoup confondent encore GTM Engineering et exécution ponctuelle.

Alors que le GTM Engineer construit des systèmes en trois étapes claires : 
agrégation, enrichissement, activation.

𝐃𝐚𝐭𝐚 𝐚𝐠𝐠𝐫𝐞𝐠𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧
On commence par identifier les signaux qui comptent vraiment.
Pas besoin de scraper l'univers entier.

Les signaux de niveau 1 (visiteurs web, réponses outbound, événements produit) suffisent pour démarrer.

Les signaux de niveau 2 et 3 (promotions, engagement ads, intégrations partenaires) viennent ensuite affiner la machine.

On mixe sources CRM, bases spécialisées, scraping web et APIs pour construire un flux constant de data qualifiée.

𝐃𝐚𝐭𝐚 𝐞𝐧𝐫𝐢𝐜𝐡𝐦𝐞𝐧𝐭
Une fois les signaux capturés, on les transforme en intelligence actionnable.

1. Filtrer pour garder l'ICP. 
2. Qualifier selon des critères métier. 
3. Normaliser pour éviter la pollution de données.
4. Scorer dynamiquement pour prioriser les comptes chauds.
5. Segmenter pour personnaliser l'approche.

Ici, on orchestre agents IA et data providers pour automatiser ce qui prenait des heures en manuel.

𝐃𝐚𝐭𝐚 𝐚𝐜𝐭𝐢𝐯𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧
La data enrichie alimente quatre canaux en simultané :

→ Outbound (séquences automatisées, ultra-personnalisées)
→ RevOps (CRM à jour, workflows intelligents, alertes en temps réel)
→ Content (ciblage précis, messaging adapté par segment)
→ Ads (audiences synchronisées, retargeting intelligent)

Chaque canal reçoit exactement ce dont il a besoin, au bon moment, dans le bon format.

C'est ça, le GTM Engineering.
Pas une campagne isolée. 
Un système complet qui transforme les signaux faibles en revenus prévisibles.

Chez Architect Ops, on construit ces architectures pour les entreprises B2B ambitieuse qui veulent industrialiser leur acquisition.

Parce qu'en 2025, faire du GTM sans système, c'est juste courir un marathon en tongs. 🤣

On parle tout le temps d'outbound, de growth hacks, de lead gen.
Mais jamais de systèmes.
Pourtant, c'est exactement ce qui manque.

Vous cherchez le prochain hack, la prochaine campagne qui va "tout changer". Mais sans système derrière, ça dure 2 mois. 
Puis plus rien.

Chez Architect Ops, on fait l'inverse.
On ne vend pas de hacks. On construit des architectures GTM qui tiennent dans la durée.

Et on documente tout.

Dans Architect Insider, on partage :

→ Les systèmes qu'on met en place chez nos clients 
→ Les tests qu'on mène sur les outils du marché 
→ Les protocoles qu'on applique en production 
→ Les retours bruts : ce qui marche, ce qui casse
→ Des vrais sujet Go-To-Market & RevOps

Dernier envoi : 6 outils Find People testés avec un protocole précis. 
(Spoiler : le meilleur n'est pas celui qu'on croit.)

Si vous êtes RevOps, Head of Growth ou GTM Manager, cette newsletter est pour vous.

Lien d'inscription en commentaire.

On a construit notre playbook GTM Outbound.
Pas un Google Doc de 50 pages qu'on ouvre jamais. 

Un schéma qui concentre tout ce qui compte : signaux, qualification, orchestration, copy, exécution.

Chez Architect Ops, on ne fait pas de l'outbound "au feeling". 
On construit des systèmes.

Notre approche tient en 5 types de signaux :

→ 𝐒𝐨𝐜𝐢𝐚𝐥 𝐬𝐢𝐠𝐧𝐚𝐥 : engagement LinkedIn, posts commentés, interactions avec notre écosystème 
→ 𝐈𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐥 𝐬𝐢𝐠𝐧𝐚𝐥 : actions dans le produit, usage, connexions, comportement utilisateur 
→ 𝐄𝐱𝐭𝐞𝐫𝐧𝐚𝐥 𝐬𝐢𝐠𝐧𝐚𝐥 : levées de fonds, recrutements, expansion géo 
→ 𝐂𝐨𝐦𝐩𝐚𝐧𝐲 𝐬𝐢𝐠𝐧𝐚𝐥 : changements de direction, nouveau poste clé, croissance de l'équipe 
→ 𝐏𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐚 𝐬𝐢𝐠𝐧𝐚𝐥 : profil cible identifié via Ocean, Clay, Pronto

Ces signaux remontent dans notre stack. 
On qualifie. 
On enrichit. 
On score.

Puis on orchestre tout ça dans un workflow cohérent : 
↳ Clay / Cargo pour identifier les comptes et enrichir en temps réel. 
↳ n8n pour orchestrer les flux entre tools. 
↳ Smartlead pour l'exécution cold email. 
↳ LinkedIn pour toucher les bons profils au bon moment avec GetSales.

Le copywriting n'arrive qu'après. Parce qu'un bon message sur une mauvaise cible, ça ne donne rien.

On analyse, on itère, on ajuste. 
Reply monitoring, KPI analytics, retour terrain.

Et selon le signal, on adapte : 
➯ Positive reply → on passe en Sales Process 
➯ Negative reply → on ajuste ou on suit dans 3 mois 
➯ No reply → on relance ou on change de canal

L'outbound, c'est pas une campagne qu'on lance et qu'on oublie. 
C'est une machine qu'on construit, qu'on alimente et qu'on améliore chaque semaine.

Chez Architect Ops, c'est ce qu'on installe pour nos clients. 
Pas du volume mais une architecture.

Et vous, vous construisez votre outbound comment ?

On vient de sortir l'épisode 3 de notre Podcast "Ça scale ou ça casse".
Octobre, c'était un mois particulier.

On a signé 3 deals d'un coup, dont un gros contrat sur 6 mois qu'on attendait depuis des semaines. 

Et puis plus rien dans le pipe.

On s'est regardés avec Martin et Christian en mode "merde, on a tout signé d'un coup, maintenant faut réalimenter".

Ce mois-ci, on a géré : 
↳ Une mission de 6 mois sur du cleaning CRM et de l'outbound signal-based 
↳ Un POC de 2 mois où on a 60 jours pour prouver qu'on est bons 
↳ Notre newsletter qui passe à 60 abonnés 
↳ 2 vidéos YouTube qui tournent à 200-400 vues chacune

Mais surtout, on a pris une grosse décision.

𝐎𝐧 𝐚𝐫𝐫𝐞̂𝐭𝐞 𝐥'𝐨𝐮𝐭𝐛𝐨𝐮𝐧𝐝 𝐚̀ 𝐟𝐫𝐨𝐢𝐝.

Scraper des listes, enrichir, lancer des campagnes, on ne vend plus ça. 
Pourquoi ? 

Parce que n'importe qui peut le faire aujourd'hui avec les bons outils.

Nous, on veut vendre de l'ingénierie. 
Du signal-based qui se base sur LinkedIn, le CRM, le produit. Des workflows qui tournent tout seuls. Bref' des systèmes complets.

L'outbound reste dans nos offres, mais couplé à du contenu, du re-targeting, de la stratégie. Un système, pas juste une campagne isolée.

Dans cet épisode, on partage aussi d'autres choses comme :
↳ Comment j'ai a bossé 3 semaines au Brésil (sans faire une ligne de code 🤣)
↳ La première session avec le psy de Christian LIM (et pourquoi il a kiffé la première, et brodé pendant la deuxième 🤣)
↳ Comment Martin Thomas a setup plusieurs setters pour automatiser les réponses d'un client

Ecoute l'épisode complet pour voir comment on se restructure, lien en commentaire.

Un CRM vide ne veut pas dire un CRM propre.
La semaine dernière, un prospect nous a dit : "Notre CRM est nickel, on vient de tout nettoyer."

Sauf qu'en creusant un peu : 
→ 80% des fiches avaient un seul champ renseigné (nom + email) 
→ Aucun scoring actif 
→ Zéro automatisation entre les outils 
→ Les Sales cherchaient manuellement les infos avec des process différents

Résultat : un CRM qui ne sert à rien. 
Propre visuellement, inutile stratégiquement.

Un bon CRM, ce n'est pas juste "ranger des contacts". 

C'est un système qui :
↳ Alimente automatiquement les bonnes données au bon moment 
↳ Permet au marketing de qualifier réellement ses MQLs 
↳ Donne aux Sales le contexte nécessaire pour closer sans chercher 
↳ Offre une visibilité claire sur le pipe et la vélocité des deals

Chez Architect Ops, on nettoie les CRM et on les structure pour qu'ils deviennent de vraies machines à revenu pour votre Go-To-Market.

Parce qu'au final, un CRM bien architecturé fait gagner 10h/semaine par Sales. 
Et ça, c'est du revenu direct.

Le K.

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