Sylvania Group

Performance énergétique des installations en éclairage 
Prescrire les bonnes solutions d’éclairages.
Gestion d’un portefeuille client.
Montage des dossiers de performance énergétique.
Offre clé en main.
Audit et bilan énergétique 
Montage financier

Ingenieur d’affaires

Time for the Planet

Lutter contre le réchauffement, s’investir pour la sauvegarde de notre planète, combattre le réchauffement climatique.

Investisseur privé

Le Studio LED

Développement d’un portefeuille clients, analyse des besoins et réalisation des devis, audit et bilan énergétique, montage en opex / capex 
Suivi des projets 
Prescriptions des solutions techniques adaptés aux différents sites.
Montage des offres techniques 
Chiffrage
Soutenance de l’offre commerciale

Ingénieur d’affaires

Groupe MCE

Gestion du projet concernant l’appel d’offre du passage en LED des stations de métro remporté  au près de la RATP. Développement d’un marché et portefeuille client.

Technico commercial

Inditex

Gestion et suivie des travaux lié au groupement inditex.
Gestion du projet AD’AP
Recherche et sélection de prestataire 
Visite des  magasins pour maintenance préventive

Assistant  responsable travaux

ENGIE Solutions France

Assistant responsable affaire  grand projet en électricité secteur industriel et environnement ,

Gestion et suivit d’un chantier , des équipes et des besoins .
Analyse technique et préparation pour réponse à appel d’offre

Assitant responsable affaire grand projet

Savelys (GDF SUEZ)

> Gestion d’un portefeuille client et suivie des commandes
> Clôture des comptes clients et facturation mensuel
> Gestion des litiges, mise en place des avoirs, application des nouveaux tarifs.

Gestionnaire de facturation

Kelly

Assistant ADV / commercial / technique pour le compte de la société nue pro Select

Assistant  adv / commercial / technique 

PHIBOR ENTREPRISES

Pose, installation, et raccord des appareillages électriques et des luminaires. 
Réception des livraisons de matériel. Rangement, classement, inventaire, classification, et redistribution au personnel.
Transmission d’informations aux équipes.
Surveillance de l’avancement des travaux et vérification de l’appareillage mis en place.

APRENTI BAC PRO ELEEC chez Phibor Opal - Groupe VINCI

Musée george pompidou

Travail avec l'artiste ou les conducteurs artistiques des expositions . 
Mise en valeur des œuvres de Gerhard Richter et d'Henri Matisse.
Information et orientation des visiteurs.

STAGE  ELECTRICITÉ   -ECLAIRAGE

Ingénieur d’affaires chez Sylvania Lighting | Performance énergétique, projet clé en main , Smart Building

Je suis ingénieur d'affaires chez Sylvania Lighting, une entreprise leader dans le domaine de l'éclairage et de la performance énergétique des installations. Depuis plus de deux ans, je prescris les meilleures solutions d'éclairage pour mes clients, en tenant compte de leurs besoins, de leur budget, et de leur impact environnemental. Je gère également le montage des dossiers de performance énergétique, en proposant des offres clé en main, des audits, et des bilans énergétiques. 

Passionné par l'environnement et la transition écologique, je suis également investisseur privé dans des projets qui visent à lutter contre le réchauffement climatique, à préserver la biodiversité, et à valoriser les énergies renouvelables. J'ai acquis une solide expérience dans le secteur de l'éclairage, en travaillant sur des chantiers variés, comme le centre George Pompidou, la RATP, ou le groupe Inditex. Je suis également impliqué dans une association qui promeut la connaissance et la protection des abeilles. Mon objectif est d'accompagner mes collaborateurs et mes partenaires dans leurs démarches de réduction de leur empreinte carbone, tout en optimisant leur confort et leur sécurité.

0648992447
Leo.perez@sylvania-lighting.com

Ce cube représente la perte de glace du Groenland chaque heure, soit 30 millions de tonnes ! 

Si toute la glace des pôles venaient à fondre, l’océan monterait de 57 mètres. 

Il faut se rendre compte : chaque kilo de CO2 émis dans l’atmosphère, c’est 15kg de glace qui fondent quelque part sur Terre. 

Sachant que la moyenne d’émission de gaz à effet de serre par Français est de 9 tonnes/an. 

Soit 135 000kg de glace fondue chaque année, pour chacun d’entre-nous. 

Et ce n’est pas qu’à l’autre bout du monde : 
Rien que sur les étés 2022 et 2023, les glaciers Français et Suisses ont perdus 10% de leur masse... 

On comprends mieux pourquoi les scientifiques nous disent que chaque tonne de CO2 en moins fait réellement la différence. 

Nos changements de modes de vie ne sont pas anecdotiques, ils ont un impact positif direct. Peu importe si la trajectoire globale est encore mauvaise, chaque pas en avant est à prendre. 

N’oublions jamais que pour que le monde change, il faut que certains - quelque part - aient commencés à changer de leur plein gré. 

C’est le fameux « soit le changement que tu veux voir dans le monde ». 

Alors en avant, et continuons de donner de la force au climat ensemble sur team-planet.com 💚

On compte sur vous. 

Merci à Enrico Van der Loo pour l’image !

LEO PEREZ 💡🌳

Ingénieur d’affaires en éclairage et performance énergétique de vos installations 💡🌳💡 
Leo.perez@sylvania-lighting.com
0648992447

Passionné par l’environnement et la performance énergétique des bâtiments.
Réduire votre bilan carbone sans en faire des tonnes voilà ma vision.

Au cours de mes diverses expériences j’ai pu travailler sur de nombreux secteurs, notamment l’environnement, le traitement des eaux, des déchets et leur revalorisation. J’ai également travaillé sur l’étude et la maintenance de l’éclairage des œuvres d’art au sein du centre George Pompidou , j’ai également pu part la suite participer à la gestion d’un projet pour le compte d’Ineo sur les lots électriques des sites de la SIAAP.
ainsi que sur la gestion et le pilotage des travaux de l’ensemble des enseignes du groupe Inditex.
En charge par la suite du marché de relamping ( passage en led ) de l’intégralité des stations de métro RATP.

Passionné par la nature et l’environnement je participe activement à l’association du Rucher des Lilas qui a pour but de faire connaître et de défendre la biodiversité pour promouvoir la connaissance et la protection des abeilles.

Disponible, pour vous accompagner dans vos projets de transitions énergétiques.


Au plaisir d’échanger avec vous.

Léo Perez


Il est parfois reproché à notre pays d'être devenu un parc d'attractions pour étrangers, ce qui se matérialise notamment par le fait que le tourisme représente environ 7% du PIB du pays et fournit environ 10% des emplois du secteur privé dans le pays. Et d'aucuns de souligner que ce serait préférable d'avoir une économie produisant "des choses" plutôt que de servir de cour de récréation aux autres.

Mais, la réalité étant ce qu'elle est, il est légitime de se demander ce que devient cette activité dans un monde où il y aura moins de voitures et d'avions. Rappelons que 80% des déplacements longue distance en voiture le sont pour des motifs de loisirs (la part professionnelle est donc très faible dans cette catégorie de trajets), et que c'est la même chose pour quasiment les trois quarts des déplacements aériens.

Et, inversement, 80% des émissions de gaz à effet de serre liées au tourisme viennent des déplacements, dont la moitié vient de l'avion (voir le bilan gaz à effet de serre du tourisme réalisé par Carbone 4 sur le site de l'Ademe : https://lnkd.in/eD-jVYR2 ). 

C'est donc une initiative intéressante dans l'esprit que vient de prendre la Normandie de tenter de favoriser la "mobilité durable" (train, bus et vélo) pour venir visiter la patrie du Camembert et des élevages de chevaux.

Dans l'esprit seulement, pour l'heure, car la "récompense" accordée aux touristes qui viendraient par ces moyens ne représente pas grand chose dans le budget global d'un week-end ou plus : une ristourne de 10% minimum sur le tarif d'un certain nombre d'attractions (https://lnkd.in/eptzEGJZ ), soit quelques dizaines d'euros sur un séjour qui en coutera au minimum 10 fois plus.

En outre, ce n'est que le dernier segment qui est concerné, et, par exemple, les étrangers venant en avion à Paris puis sur les planches de Deauville (qui n'a pas d'aéroport international !) bénéficieront aussi de ce petit coup de pouce.

Il n'empêche que la direction indiquée est la bonne si le but du jeu est de préserver une activité économique qui dépend un peu trop (et en fait beaucoup trop) du pétrole aujourd'hui.

Il restera aussi à traiter un autre obstacle de taille : le tourisme n'est possible qu'avec du temps libre, et le temps libre nous a été amené par la civilisation des machines (qui travaillent à notre place). Pour le coup, ni la Normandie, ni même la France ne vont pouvoir massivement éviter que la décrue énergétique ne diminue in fine le temps libre.

Dans un monde "neutre en carbone", le secteur touristique peut donc préserver une partie de son activité en dépendant le plus possible de modes de transport qui le seront aussi, mais si ce monde là signifie, ce qui est probable, une productivité du travail diminuée, il faudra aussi fatalement envisager une reconversion d'une partie de cette activité. Un défi de plus !

www.lefigaro.fr • 3 min read

Cette région française est la première à récompenser les touristes venus en mobilité durable

Audition très intéressante de Philippe LEDENVIC (ancien président de l'Autorité Environnementale) dans le cadre de la "Commission d’enquête sur le montage juridique et financier du projet d’autoroute A69" (https://lnkd.in/ejbzdU_A ).

Ca va vite (c'est assez technique !), mais on y apprend notamment :

- que le dossier présenté par le maître d'ouvrage sur l'A69 a changé au cours du temps en ce qui concerne son impact sur l'environnement : ce dernier est présenté comme plus faible aujourd'hui qu'il y a 20 ans alors que c'est le même et que l'urgence d'agir est plus forte

- que produire un bilan de l'impact du projet sur les émissions de gaz à effet de serre n'est pas nécessaire pour qu'un tel projet soit déclaré d'utilité publique : un projet routier particulier n'a donc, dans les faits, aucune obligation quelle qu'elle soit d'être cohérent avec la stratégie nationale bas carbone

- que lorsque le cadre dans lequel une déclaration d'utilité publique est accordée change, il n'y a pas d'obligation de réévaluer la situation.

- que nombre de projets routiers ne présentent pas de bilan socioéconomique correct. On y décrit les avantages mais pas ou pas assez bien les inconvénients, ce qui empêche par construction de faire un bilan. En particulier l'impact sur les émissions du trafic induit (un supplément d'environ 20% en moyenne précise Philippe Ledenvic) n'est que très rarement fourni dans le dossier du maître d'ouvrage

- que les juridictions administratives rendent parfois des jugements dans lesquels les arguments sont incohérents les uns avec les autres, ce qui, regrette l'auditionné, les dessert auprès du public

En clair, on peut donc, en 2024, construire, en toute légalité, un projet qui a été autorisé dans un cadre ancien qui n'a plus cours, et ne fournit pas un certain nombre d'informations normalement essentielles pour en apprécier la pertinence (c'est le cas de l'A69).

Quelle conclusion en tirer ? Que la puissance publique est aujourd'hui, avec les infrastructures routières, dans la même situation qu'un industriel de la confiserie dont le PDG annoncerait urbi et orbi qu'il va faire des produits moins nocifs pour la santé tout en élargissant sa gamme de produits sucrés, et en ne changeant rien aux lignes de production, aux fournisseurs ou aux compétences de son entreprise.

Le Diable étant dans les détails, il faut donc changer les modalités d'instruction et d'autorisation des dossiers, pour que ces modalités soient cohérentes avec l'objectif d'ensemble de rendre notre mobilité compatible avec la décarbonation. C'est exactement ce qui est attendu de chacun d'entre nous par ailleurs !

Belle illustration des ordres de grandeur dans le secteur des transports par les amis de Twomorrow_project : 

Les chiffres viennent de l’ADEME et de son comparateur, sur lequel vous pouvez retrouver toutes les sources détaillées. 

On rappelle que le transport est l’une des premières causes de réchauffement climatique en france (et dans le monde) avec 30% du total national ! 

2 tonnes de CO2eq par an, c’est ce qu’il faudrait que chacun d’entre nous émette en moyenne pour rester en dessous des +2 degrés de réchauffement climatique. 

Au delà de +2 degrés, les boucles de rétroactions climatiques s’enclenchent et le climat entre dans une mécanique d’emballement chaotique sur laquelle nous ne pourrons plus du tout agir. Ce qui ne présage vraiment rien de bon 😅

Bonne nouvelle : ce petit graphique nous montre que vivre à 2 tonnes de CO2 par an n’a rien d’un enfer... puisque l’on pourra par exemple toujours se déplacer loin de chez soit ! 850 000 km en train, notamment, c’est 21 fois le tour complet de la terre ! 

Le sujet c’est donc surtout de changer nos usages. 

Et pour nous aider à donner encore plus de force au climat, rejoignez l’aventure TFTP sur team-planet.com ! 

Les petites ruisseaux font les grandes rivières 💚

Il y a de nombreux domaines dans lesquels l'écart se creuse entre le discours "climat" (il faudrait baisser les émissions de gaz à effet de serre) et les actes.

Il faudrait moins de voitures sur terre, et il y en a plus. Moins d'avions, et il y en a plus. Moins de viande consommée, et nous en mangeons plus. Plus de ceci, plus de cela : de très nombreux flux physiques croissent en même temps que les propos alarmistes (et justifiés) nous invitant à faire l'inverse.

Il est un domaine qui n'a hélas pas échappé à la règle : le sport. Plus nous avons inclut la "durabilité" dans le cahier des charges des grandes manifestations sportives, comme par exemple les Jeux Olympiques, et moins ces dernières préservent l'environnement !

C'est une des informations que l'on peut trouver dans la dernière production du Shift Project, "décarbonons les grandes manifestations sportives dans les stades" : https://t.ly/UPoZQ

Pourquoi les grandes manifestations sportives ? Parce que ce sont à la fois des événements assez émissifs par personne, et par ailleurs des occasions uniques de rassemblement.

Pour commencer par le deuxième point, quel autre événement de la vie civile est capable de regrouper jusqu'à des milliards de personnes ? Les sportifs les plus connus sont aussi notoires que des stars de la chanson ou du cinéma, et qui ne sait ce qu'est un match de foot ou un marathon ? A tout cela rajoutons qu'il y a des millions de licenciés dans notre pays.

Enfin les valeurs associées au sport sont aussi pertinentes en matière d'environnement : on va parler de défi, d'entraide (pour les sports collectifs), d'objectif, d'entraînement et de progression, de moyens limités par nature (ses muscles ou du matériel qui ne peut pas tout faire), et parfois de respect de la nature en direct, quand le sport prend place au sein de cette dernière (trail, voile, etc).

Sur le premier point, un spectateur pour une grande manifestation internationale pourra émettre de 0,1 à plus de 2 tonnes équivalent CO2, voire plus quand c'est un président de la République qui fait 2 fois l'aller-retour en jet privé pour à l'occasion de la coupe du monde de foot au Qatar :) (https://t.ly/4BDSN ).

Ce sont en effet les déplacements qui pèsent le plus pour un "grand" match, avec environ les 2/3 du total. L'alimentation et les boissons arrivent en 2è position, avec environ 15%. Point important : pour la retransmission, nos calculs n'incluent pas l'amortissement de l'achat de la télévision, alors qu'il est connu des vendeurs de matériel numérique que les grands événements sportifs motivent une partie des ménages à s'équiper en matériel neuf.

Le sport offre donc un "substrat" très favorable pour de la communication large sur des sujets environnementaux au sein de la société civile, et c'est la raison pour laquelle il a paru pertinent à notre think tank d'aller y faire un tour.

Quand tout le PSG ne voudra plus se déplacer qu'en char à voile, nul doute que nous aurons franchi un grand pas !

Pendant la décennie 2000, les assureurs français ont dépensé en moyenne 2,7 milliards d'euros (constants) par an pour rembourser des dommages causés par des événements climatiques (grêle, tempêtes, sécheresses, inondations, etc). 

Pendant la décennie 2010, cette somme est montée à 3,7 milliards par an en moyenne, et pour les 4 premières années de la décennie 2020, nous sommes à 6 milliards en moyenne. Question (qui était aussi celle de ma chronique de ce matin sur RTL : https://t.ly/S6DCX ) : doit-on être inquiet pour l'avenir de l'assurance aux biens ? Pourrait-on arriver à un stade où une large fraction de la population ne pourrait plus assurer son logement, par exemple ?

Comme je le rappelle dans ma chronique, le contrat d'assurance est un contrat annuel. Chaque année, l'assureur peut donc soit proposer le renouvellement avec une prime voisine de la précédente, soit proposer le renouvellement avec une prime fortement augmentée, soit ne pas proposer de contrat du tout.

Il y a des régions aux Etats-Unis, par exemple, où il est devenu très difficile d'assurer son logement contre les catastrophes naturelles. Et si, en France, s'assurer est obligatoire dans certains cas (par exemple pour le locataire d'un logement, mais ce n'est par contre pas le cas pour un propriétaire), il n'existe pas d'obligation réciproque garantissant à un particulier de toujours trouver un assureur qui serait "obligé" de l'assurer.

Si l'on regarde les grandes masses, on reste dans des sommes modestes : 6 milliards, ça peut sembler beaucoup, mais ce n'est en fait qu'un modeste 3 pour mille du PIB français. Ce sont pour le moment - et à un horizon de quelques décennies probablement - des sommes qui restent à la portée de notre économie.

Le problème viendra probablement de deux évolutions qui ne se devinent pas dans les séries passés :

- la possible inflation des coûts de réparation dans un monde à l'énergie en contraction. Pour réparer il faut en effet du ciment, de l'acier, des camions, bref de l'énergie, et si cette dernière est moins abondante il sera moins facile de réparer (et donc "plus cher" en termes réels)

- les conséquences de dommages non réparables sur des actifs naturels. Par exemple le débit du Rhin n'est pas "assuré", au sens où on ne peut souscrire une police d'assurance pour que ce débit retrouve un niveau normal si la sécheresse le fait trop baisser. Or si le Rhin devient impraticable faute d'eau en quantité suffisante, les "dommages" au système productif qui en dépend iront très au-delà de 0,3% du PIB. Idem pour l'effet sur l'économie de montagne de la disparition de la neige sur l'essentiel des Alpes, etc, et ces effets arriveront en simultané.

Il faut donc rester vigilants sur un point : le cout pour la société (au sens large) du changement climatique est très loin de se limiter au cout pour les assureurs. C'est un cas de plus où les milliards fabriquent une illusion rassurante plus qu'une alerte majeure !

lesechos.fr • 3 min read

Catastrophes naturelles : les assureurs français ont déboursé 6,5 milliards d'euros en 2023

Dans les conséquences attendues du réchauffement climatique, il y a le fait que les zones hostiles pour notre espèce, parce que trop chaudes, et éventuellement trop humides, pourraient passer dans la 2è moitié du 21è siècle de 1% à 20% des terres émergées, et concerner plusieurs milliards d'être humains.

La conclusion que l'on est tenté d'en tirer est qu'il va y avoir des migrations. La compréhension la plus courante de ce terme concerne des gens qui vont changer de pays, faisant alors craindre des chocs de culture, de religion, de valeurs, et bien sur une compétition accrue pour les ressources - qui devront être partagées entre plus de monde - au lieu de destination des migrants.

Mais une migration évidente en pareil cas devrait être celle interne aux pays, en particulier pour ceux qui sont géographiquement étendus. Car cette migration là ne se heurte pas tant aux barrières de langue, de citoyenneté (ou de permis de résidence), ou de culture.

Les USA seraient fortement concernés par le phénomène, explique Abrahm Lustgarten dans un livre recensé par la revue Science. Les causes premières seraient la sécheresse, la hausse du niveau de la mer et les ouragans.

L'ampleur de ces mouvements ne dépendra pas que du climat. La sécheresse, par exemple, gêne l'agriculture locale et l'adduction d'eau potable. Mais tant qu'il existe de l'énergie à profusion, et que les plantes cultivées poussent "quelque part", il est possible de dessaler l'eau de mer et de mettre de la nourriture dans des camions pour des gens restés sur place.

Et même les migrations à longue distance demandent de l'énergie ! On imagine mal des milliards de personnes faisant 5000 km à pied dans l'année...

Par ailleurs le climat pourra parfois être "masqué" derrière une cause semblant plus évidente. Par exemple, si la production de nourriture locale est rendue difficile par le changement climatique, l'inflation alimentaire subséquente peut contribuer à des déstabilisations politiques et économiques, sans que nombre de "commentateurs" ou d'observateurs ne remontent à la cause première de manière rapide (le "Printemps Arabe" était une illustration typique de ce cas de figure).

Pour le moment, dans notre monde d'énergie abondante, les migrations internes se sont déroulées "dans la douceur". En France, comme partout, une large partie des ruraux ont migré en ville, et, chez nous, les retraités sont partis sur le littoral, et rien de tout cela n'a débouché sur des drames humains.

A l'avenir, c'est donc la conjonction d'un climat en évolution de plus en plus rapide avec des moyens matériels qui vont finir par devenir plus contraints qui va poser problème. Et en l'espèce, comme pour beaucoup de conséquences du réchauffement, l'observation du passé ne sera pas suffisante pour préparer l'avenir.

Il faudra faire des analyses par scénarios, en imaginant des éventualités très différentes mais plausibles, pour savoir si l'on s'est préparé aussi bien que possible ou pas.

science.org • 1 min read

American climate migration

Voici à quoi ressemblait le monde il y a 20 000 ans ! Explications :

Le climat était plus froid de 3 à 6 °C en moyenne par rapport à l’époque actuelle.

Les océans étaient 120 mètres plus bas. Il était possible de passer de la France à l'Angleterre à pieds. Vous noterez aussi à quel point la mer Méditerranée était considérablement plus petite.

D'immenses glaciers recouvraient toute la partie nord du globe. 
Le Canada et une bonne partie de l'Amérique du nord étaient sous la glace.

De notre côté, la glace avançaient jusqu'à Berlin, et les pays scandinaves ainsi que l'Angleterre et une bonne partie de l'Europe du Nord étaient enfouis sous plusieurs kilomètres de glace.

La carte montre aussi de larges zones dites « sèches » qui se trouvent aujourd’hui sous les eaux. C'est le cas par exemple de Sundaland, le « continent perdu », en Asie du Sud-Est.

Il a fallut 10 000 ans de réchauffement progressif, petit à petit, pour que le climat terrestre atteigne celui que nous avons connu avant l'ère industrielle, et qu'il se stabilise pour permettre notamment l'expansion humaine.

Aujourd'hui, ce que l'humanité est en train de provoquer en brulant des milliards de tonnes de combustibles fossiles (on brûle 16 milliards de litres de pétrole par jour et 8 milliards de tonnes de charbon par an) est comparable au réchauffement qu'à connu la Terre pendant les années qui nous séparent de ce dernier maximum glaciaire.

En effet, d'après le GIEC, nous sommes actuellement sur des scénarios de réchauffement allant de +3,6 degrés (si tous les pays tiennent leurs engagements) à + 5 degrés (si rien n'est fait).

Il faut se rendre compte de la transformation que cela peut provoquer... Quand on voit cette carte, on réalise ce qu'est un monde différent de quelques degrés !

Sauf que nous, on ne le fait pas en 10 000 ans, mais en 150 ans.

Aucun écosystèmes ne peut s'adapter sur des temps aussi courts. 
Pas même nous.

C'est pour cette raison que tous les scientifiques du monde appellent à réduire au maximum les gaz à effet de serre, le plus vite possible. 
Il ne s'agit absolument pas d'une anecdote ou d'un "geste" pour "sauver la planète".

La planète - elle - n'aura aucun mal à faire face à cela. 
On ne peut pas en dire autant de nous, et du vivant dont nous dépendons (et faisons partie).

La bonne nouvelle, c'est que nous savons exactement quoi faire pour limiter le dérèglement du climat à +2 degrés au maximum. Tout est documenté, n'importe quelle recherche sur un moteur de recherche vous donnera tous les éléments.

Il faut simplement accepter de regarder les choses en face, et accepter de changer nos modes de vie. Pour le mieux (bien que l'humain ait horreur du changement).

Pour donner de la force au climat, vous pouvez aussi rejoindre l'aventure team-planet.com !

Les petites ruisseaux font les grandes rivières 💚

Carte publiée par le média Visual Capitalist.

En 2023, les catastrophes climatiques en France ont coûté 6,5 milliards d’euros aux assureurs. Voici la progression de ces coûts : 

Nous franchissons des « paliers successifs dans le coût du risque climatique ».

Dans les années 2000 à 2008 « on était en moyenne à 2,7 milliards d’euros par an ». Ensuite entre 2010 et 2019 « on est passé à 3,7 milliards. Et si je prends la moyenne sur les quatre dernières années, dont 2022 et 2023, je suis à six milliards » a déclaré Florence Lustman, présidente de France Assureurs au micro du média le Parisien. 

Le GIEC l'a très bien rappelé : Le coût de l'inaction climatique sera largement supérieur au coût de l'action. 

Depuis quelques mois, plusieurs centaines de communes en France ont d'ailleurs reçu un courrier de leur assureur leur annonçant la fin du contrat de manière unilatérale. Tout simplement parce que cela leur coûte trop cher. 

La commune de Toreilles (Pyrénées-Orientales) par exemple, a connu de fortes inondations. Au début, l'assureur a affirmé vouloir continuer d'aider la ville, mais à une condition : augmenter les tarifs de 70 %. 

Finalement, il a mis fin au contrat sans que le maire de la commune ne puisse réagir. Même scénario pour Le Coteau (Loire), qui a connu un épisode de grêle endommageant les bâtiments, l'assureur a résilié le contrat du jour au lendemain, le 1ᵉʳ janvier. 

La liste est longue ! 

Le bilan, c'est que la crise écologique est directement liée à la crise économique. 
Plus nous attendrons pour agir, plus les conséquences économiques seront importantes, et viendront s'ajouter aux galères causées par le changement climatique. 

L'activité des entreprises, notamment, est directement mise en péril par le changement climatique : le prix de l'énergie augmente, le prix des matériaux augmente, le prix des denrées augmente... 

Une vraie bonne raison pour les entreprises de prendre au sérieux le changement climatique, et de faire évoluer leurs modèles ! Plus nous attendons, plus la facture sera salée. 

Alors ne remettons pas à demain, et remontons-nous les manches. 
Dans tous les secteurs. 

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L'agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (l'ADEME) vient de publier un "avis" concernant la "transition juste" : https://t.ly/NqFIc

Cette notion est définie comme suit par l'Organisation Internationale du travail : "rendre l’économie plus verte d’une manière qui soit aussi équitable et inclusive que possible pour toutes les personnes concernées, en créant des opportunités de travail décent et en ne laissant personne de côté" (https://t.ly/-O_hI ) 

L'idéal serait donc que, dans le même temps que nous décarbonons et préservons la biodiversité (et le reste), nous puissions gagner de l'emploi et du pouvoir d'achat.

Dans l'avis qui vient d'être rendu, L'Ademe écrit que c'est possible : la transition fait gagner des emplois, et du revenu disponible pour les ménages, dans 3 scénarios sur 4.

Si je suis tout à fait d'accord avec le fait qu'il faut faire de la décarbonation une opportunité globale (donc une trajectoire où nous avons plus à gagner qu'à perdre), la conclusion de l'Ademe repose malheureusement sur une tautologie (c'est à dire une conclusion dans laquelle on retrouve une hypothèse de départ qui n'est en rien démontrée par le raisonnement).

Pour le comprendre, il faut se livrer à un petit jeu de piste. Dans l'avis, la note 2 renvoie aux analyses macroéconomiques de l'Ademe sur ses scénarios "transition(s) 2050" (https://t.ly/3VuZu ). On y lit "les gains de productivité [du travail] sur le long terme sont supposés varier selon celles de la SNBC 2020". (NB : SNBC = Stratégie Nationale Bas Carbone).

Allons donc voir ce que dit la SNBC sur la question ! Le document qui la présente (https://t.ly/wT__j ) indique que "L’impact macro-économique de la transition paraît mesuré et modifie peu la trajectoire de PIB du cadrage économique général" (fait par Bercy, NDR). Or, ce cadrage postule (car c'est une hypothèse et non une conclusion) que le PIB croit sans discontinuer à l'avenir.

Reprenons. Le "cadrage général" fait par la puissance publique (et qui sert aussi pour les retraites ou les prévisions sur l'assurance chômage) dit que le PIB croit à l'avenir quoi qu'il se passe, et cette hypothèse est reprise par la SNBC qui la transmet à l'Ademe qui l'inclut dans son avis.

Et si l'emploi et le revenu augmentent dans les scénarios "de transition", ce n'est pas du tout à cause de la décarbonation : c'est à juste cause de cette hypothèse de de départ non démontrée par la suite !

La réalité - à cause du lien énergie-PIB - est que la baisse de l'énergie disponible conduira à une baisse de la production "physique". A emploi identique, ça veut dire une productivité qui baisse, et à population identique une consommation qui baisse. Raisonner dans un autre cadre n'aura hélas aucune portée pratique et crée un risque majeur de désillusion cruelle, dont il faudra assumer les conséquences politiques.

En mars 2011, il a été créé une "European Union Agency for the Cooperation of Energy Regulators" (les régulateurs de l'énergie sont ceux qui "régulent les marchés"), l'ACER, qui publie désormais une fois par an un rapport sur les marchés de l'énergie (en pratique électricité et gaz, c'est à dire les "énergies de réseau", les produits pétroliers n'étant pas concernés par ce dispositif).

Le rapport 2024 fournit un bilan très intéressant de l'année 2023, ainsi que sa comparaison avec 2022 : https://t.ly/iIQgi 

En matière d'électricité, on retiendra que :

- à cause de l'abandon allemand et des problèmes français, le nucléaire, qui reste la première source de production en Europe, a néanmoins perdu 140 TWh en 4 ans (soit la production de 14 gros réacteurs environ), et même 300 TWh depuis 2004 (soit 1,5 fois la production solaire de 2023)

- le non pilotable (éolien et solaire) représente désormais 27% de la production européenne, pour 40% de la capacité installée

- à part le nucléaire, tous les autres moyens de production ont des facteurs de charge inférieurs à 50% (le facteur de charge est la production réelle de l'année comparée à une situation où le dispositif produirait en permanence à pleine capacité), et même inférieurs à 35% si l'on excepte la biomasse (en pratique du biogaz issu de méthaniseurs)

- le facteur de charge moyen a tendance à baisser, puisque la capacité installée augmente alors que la baisse de la demande (qui a démarré en 2008) se poursuit

- les prix moyens sur les marchés de gros sont plus élevés qu'avant "la crise" de 2022, à cause de la hausse du prix du gaz. L'Italie, qui a été importatrice nette chaque heure de 2023, est aussi le pays où le prix a été le plus élevé en moyenne

- la volatilité des prix de gros a baissé depuis 2022 mais augmenté depuis 2021

- il y a eu une très forte hausse des épisodes de prix négatifs de l'électricité sur les marchés de gros, notamment due à la hausse des moyens non pilotables

En matière de gaz, on retiendra que :

- les importations de gaz russe ont baissé de 115 TWh (1 TWh = 1 milliard de kWh) de 2021 à 2023 (mais nous avons encore 60 TWh de gaz russe en 2023)

- baisse de la consommation de gaz (qui s'inscrit dans une tendance qui a démarré en 2005) et hausse du GNL ont contribué pour moitié chacune à "compenser" cette baisse

- les prix du gaz en Europe ont désormais quasiment rejoint ceux de l'Asie (à cause du GNL), 5 fois plus hauts que ceux des USA

- dans le scénario "Fit for 55" la demande de gaz ne baisse pas beaucoup ! Un autre rapport de la même agence (https://t.ly/pmBXo ) indique que les capacités d'exportation de GNL en construction dans le monde ajouteront d'ici 2030 50% à celle de 2022.

L'observation du passé ne prescrit évidemment pas complètement l'avenir. Mais cela fournit quand même une base précieuse pour en débattre !

La façon dont nous utilisons notre argent crée le monde dans lequel nous vivons. 

En ce moment, on entend souvent parler de « fonds verts ». 

Le Monde a mené une enquête sur le sujet, résumée dans cette courte vidéo. 

Il s’agit en effet d’être exigeant lorsque l’on confie son argent. 
Surtout lorsque l’on fait déjà de son mieux pour réduire son empreinte écologique. 

Ce serait dommage que toutes nos actions pour aller dans le bon sens soient annihilées parce que nous avons mal placé nos deniers... Et pire, en ayant placé nos finances en pensant bien faire ! 

C’est pour éviter les contraintes liées aux impératifs de rendement financiers (très souvent au détriment de l’impact) que nous avons décidé de mettre sur pieds un modèle actionnarial sans aucun rendement financier. 

Chez TFTP, nos actionnaires sont rémunérés en impact, et c’est tout ! 
(Les fameux dividendes climat, qui matérialisent les tonnes de CO2 évitées chaque année). 

Ce modèle d’affaires différent nous permet d’investir l’argent de nos actionnaires directement sur des projets avec un très fort potentiel d’impact. Sans devoir chercher des projets « machines à cash » pour tenir des « standards de rendement financier ». 

C’est une énorme différence, car les projets que nous soutenons ne sont juste pas dans les radars du monde économique traditionnel, alors qu’ils sont cruciaux pour l’avenir ! 

Nous avons ainsi la liberté et l’immense luxe de pouvoir investir avec l’impact positif maximal comme boussole, pour de vrai. 

Et ça, c’est unique, dans le paysage actuel de la finance ! 

Un immense MERCI aux 120 000 premiers actionnaires visionnaires qui ont cru en TFTP et qui ont permis à cette immense expérience de nouveaux modèles d’affaires de voir le jour ! 

On ne changera pas le monde sans changer les entreprises. 

Prouvons ensemble que d’autres voies sont possibles. 

Rejoignez-nous sur team-planet.com 💚

[Décryptage transport]

Voici les 3 actualités qui ont retenu notre attention cette semaine et dont certaines feront l’objet d’une analyse pour les abonné·e·s à la newsletter transport.

Cette région française est la première à récompenser les touristes venus en mobilité durable 
👉 https://lnkd.in/e3zPPFB4

KLM perd son procès pour «greenwashing» aux Pays-Bas 
👉 https://lnkd.in/dx8e6hCc

Fret ferroviaire : une année sans (en France)
👉 https://lnkd.in/dZ2g3cAW

Pour recevoir nos décryptages transport, n’oubliez pas de vous inscrire 
👉 https://lnkd.in/deJmBjt

🏢 Après avoir exploré le décret BACS dans sa globalité, il est temps de se concentrer sur les exigences spécifiques qu'il implique pour les systèmes d'éclairage en milieu tertiaire. 
🔍 Quels sont les attentes et obligations ? Comment y répondre et quel est l’intérêt ? Plongez avec moi dans les subtilités du décret BACS et retrouvez les réponses à ces questions cruciales dans mon nouvel article ci-dessous ⬇️  #maintenance #rse #immobilier

LEO PEREZ 💡🌳 on LinkedIn • 3 min read

Décrets & GTB qu'elles obligations pour l'éclairage?

📃On parle du décret BACS, mais que cela concerne-t-il vraiment ❓

Avant de m’attaquer au sujet dans un prochain article, j’aimerais connaître votre avis à travers ce petit sondage ! 🧐💡

🤝 À la recherche d'un partenaire de confiance pour vos projets énergétiques ? Ne cherchez plus ! Nous proposons des services complets dans le cadre de collaborations et de sous-traitance pour répondre à vos besoins spécifiques.
💼 Notre équipe est spécialisée dans les audits et les études énergétiques pour les propriétés individuelles et les bâtiments collectifs. Nous gérons également le dimensionnement des réseaux CVC, de la phase ESQ à EXE, ainsi que des réseaux de gaines de ventilation, de plomberie et d'évacuation des eaux.
💡 Nous excellons dans la conception des installations de chauffage, de climatisation et d'éclairage, en fournissant des schémas de principe détaillés. Grâce à des outils tels que PLEIADES, PERRENOUD et DIALux, nous garantissons un dimensionnement précis des systèmes de CVC et d'éclairage, tout en évaluant les environnements intérieurs pour les rendre plus sains.
📊 Conformité et efficacité sont notre leitmotiv. Nous sommes à jour avec les normes RT2012/RE2020 et maîtrisons des logiciels spécialisés tels que THC-Ex/U21-22, ACV RE 2020/RESSAN, AutoCAD MEP, Sketchup, ACOUS-PROPA et MS Office pour des solutions intégrées et efficaces.
🌬 De plus, nous sommes équipés pour évaluer la qualité de l'air avec des logiciels comme CALPUFF et AERMOD, garantissant ainsi des environnements intérieurs plus sains et plus confortables pour tous.
💬 Contactez-nous dès aujourd'hui pour discuter de nos services de collaboration et de sous-traitance, et découvrez comment nous pouvons vous aider à atteindre vos objectifs en matière d'efficacité énergétique et de confort des occupants ! #Collaboration #SousTraitance #EfficacitéÉnergétique #Conception #AuditÉnergétique #QualitéDeLair

📜🏢 Vous connaissez le décret BACS, vous ? 😜 

J’ai rédigé un petit article sur le sujet ici : https://lnkd.in/di8SC38x

Je constate que cette réglementation est encore trop peu connue ! Pourtant, elle concerne une grande majorité des sites tertiaires.
Dans un contexte marqué par l’accélération du changement climatique, la transition énergétique est plus urgente que jamais. D'ici 2030, nous devons sortir de la dépendance aux énergies fossiles et réduire de 40 % la consommation d’énergie. Le gouvernement a annoncé le 6 octobre 2022 un plan de sobriété énergétique qui vise à diminuer de 10 % la consommation d'énergie d'ici 2024. 🌳 
Dans cette idée, la directive BACS (également connue sous le nom de "Systèmes d'automatisation et de contrôle des bâtiments") cible les bâtiments nouveaux et existants du domaine tertiaire, en fonction de la puissance dont ils sont équipés. Elle sera effective entre 2024 & 2027, selon la nature du bâtiment.
Le sujet vous intéresse ? Découvrez-en plus avec mon article sur le sujet💡
 
Prochainement, je prévois d'explorer la diversité des techniques de gestion qui peuvent être utilisées en matière d'éclairage. Restez connectés ! 🔌
 
#maintenance #travaux #immobilier #environnement #énergie

Un peu de lecture sur un sujet d’actualité pour ce long week-end ?
J’ai rédigé un post, ainsi que mon premier article qui explique en détail les enjeux du décret bacs, un sujet ou je constate un réel manque d’information.

https://lnkd.in/di8SC38x

Je vous souhaite un beau week-end.
Cdt

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