Aurore Petrus's Linkedin Analytics

LinkedIn est-il en train de perdre son ADN ? (Sommes-nous en train d’assister à la fin de l’ère LinkedIn ?) Il y a une chose que LinkedIn faisait différemment des autres réseaux : connecter les professionnels. Pas des audiences, pas des abonnés, pas des suiveurs. Des experts, des entrepreneurs, des décideurs qui partagent leurs expériences et leurs visions. (Et ça, je lui accordais. C’était son essence. Son vrai rôle.) Son ADN, c’était le format texte. Des posts construits, des analyses pointues, des débats enrichissants. (Et puis un jour, il a commencé à copier.) 😬 → Les stories sont arrivées… puis ont disparu. → Les vidéos courtes et verticales sont en test. → Les posts viraux remontent dans le fil, même plusieurs jours après leur publication. → Les réactions ont évolué, s’inspirant de Facebook. Petit à petit, LinkedIn s’est mis à adopter les tendances des autres plateformes. (L’intention est claire : maximiser l’engagement, rendre le réseau plus dynamique.) Mais à force de ressembler aux autres, LinkedIn ne risque-t-il pas de se perdre lui-même ? Ce qui faisait sa force, c’était la qualité des échanges, le sérieux des discussions, la profondeur du contenu. Aujourd’hui, on voit émerger : ⇾Des posts ultra-courts, ⇾Des polémiques taillées pour l’algorithme, ⇾Des formats plus légers, plus sensationnalistes. Sur le plan personal branding, je trouve que c’est une bonne chose (y compris le format vidéo) : On a besoin de savoir qui se cache derrière un écran. Mais LinkedIn doit-il suivre la vague et devenir un énième clone d’Instagram ? Ou rester fidèle à ce qui a fait son succès ? (Tu ressens ce changement, toi aussi ?)

Tout le monde veut percer l’algorithme LinkedIn. Le temps passe. Tout le monde cherche encore comment percer l’algorithme LinkedIn. ⇾Quelle est la meilleure heure pour poster ? ⇾Combien de hashtags utiliser ? ⇾Comment maximiser l’engagement ? Mais pendant que certains traquent les hacks, d’autres ont déjà trouvé la réponse. 👉 Elle est juste sous vos yeux. Et il est encore temps de la comprendre. C'est par ici 👇

Bienvenue sur LinkedIn,le seul endroit où toutes les générations cohabitent… et s’affrontent. Ou devrais-je dire… Bienvenue dans l’arène ? Des X, des Y, des Z. Des carrières de 30 ans et des freelances de 30 jours. Des “Il faut bosser dur” contre des “Il faut bosser smart”. 💥 Collision frontale. Les X trouvent les Y trop idéalistes. Les Y trouvent les Z trop expéditifs. Les Z trouvent tout le monde trop lent. Et forcément… ça clashe. Parce qu’on n’a pas grandi avec les mêmes codes, on ne fonctionne pas pareil. Chacun pense que sa façon de faire est la bonne. Le problème, ce n’est pas LinkedIn. C’est nous. On a appris que pour être entendu, il faut parler plus fort. 🎤 Sur un plateau télé, le débat suit la même logique. Deux visions s’affrontent, non pas dans l’objectif de confronter des idées et d’enrichir le débat, mais dans une quête de domination où l’argumentation laisse place à la performance. Chaque phrase est minutieusement pesée pour frapper juste, chaque réplique savamment calibrée pour marquer les esprits. Les clashes ne sont plus le fruit d’une discussion animée, mais le résultat d’une mécanique bien huilée où chaque mot est pensé pour capturer l’attention et imposer un rapport de force. Un exemple ? Mitterrand vs Chirac, 1988. 👉 “Vous êtes Premier ministre, je suis Président. Vous ne me faites pas poser les questions.” 💥 KO. Standing ovation. Mais… qui se souvient des idées débattues ce jour-là ? Et aujourd’hui ? C’est pareil sur LinkedIn. On ne cherche plus à échanger. On cherche à marquer des points. Un post qui fait réagir. Un commentaire qui buzze. Une punchline qui fait mouche. Résultat ? Du bruit. Beaucoup de bruit. Mais très peu de connexions. Un réseau, c’est fait pour connecter. Pas pour cogner. Alors, avant de balancer ta punchline bien sentie… Veux-tu juste briller ? Ou veux-tu vraiment comprendre ? ------------------------------------- Prêt à maîtriser LinkedIn et booster votre visibilité en 6 semaines ? Inscrivez-vous dès maintenant via mon profil ou en message privé ! 🚀

Logo détourné, livre provocateur : Xavier Niel sait exactement comment créer le buzz. Xavier Niel l’a parfaitement compris : en détournant le célèbre « Carré Orange » pour promouvoir son livre provocateur en 2024, il s’offre immédiatement l'attention du public. Mais soyons honnêtes deux secondes : Free et Orange sont-ils vraiment concurrents directs ? Pas vraiment. Free joue la carte de la rupture, du prix accessible et du "sans engagement". Orange mise sur la qualité premium, le service client haut de gamme et la fiabilité. Les publics visés sont radicalement différents, les attentes des clients aussi. Alors pourquoi ce clash marketing ? Parce que choisir un ennemi permet de clarifier son positionnement. C’est une stratégie qui a toujours existé, comme en témoignent ces rivalités célèbres : → Burger King vs McDonald's →Pepsi vs Coca-Cola →Adidas vs Nike Avoir un adversaire marketing clair, c’est se donner une chance de raconter une histoire simple, forte et mémorable. Xavier Niel ne cherche pas à séduire les clients d'Orange. Il veut simplement renforcer sa propre identité en utilisant Orange comme levier médiatique. Et clairement, ça fonctionne ! Selon vous, avoir un « ennemi marketing » est-il une stratégie efficace ? ------------------------------ ➠ Si tu me découvres, moi c’est Aurore ! Je parle branding, identité visuelle et bonnes pratiques LinkedIn. ➠La session d’avril de LinkedIn Start est ouverte : 6 semaines pour enfin décoller !.

Hier, je me suis dit :« Mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir écrire aujourd’hui ? » Les rageux diront probablement : « Si t’as rien à dire, alors dis rien. » (Oui, merci pour le conseil !) Mais j'ai préféré me poser une autre question : pourquoi est-ce que je m'impose d'écrire chaque jour ? Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que je me questionne à ce sujet. Pourtant, chaque matin, je reviens ici. Et chaque jour, je finis par publier, parce que l'idée finit toujours par arriver ✍️ La raison est simple : j'ai entraîné mon cerveau pour cela. Au début, ça tirait, ça coinçait, et j’ai souvent douté de mes capacités. Et puis, un jour, je ne me suis plus rien imposée. C’est devenu mon équilibre C’est devenu une partie de moi. C’est inscrit dans mon ADN. Je n’y réfléchis même plus, je le fais. C’est là, ancré, un réflexe. Chaque jour, ça fait partie de qui je suis. Alors même quand les idées ne viennent pas immédiatement, même quand la phrase parfaite se fait attendre, je continue. Et puis, j’ai ma ligne éditoriale. C’est ça, le vrai secret pour ne jamais être à court d’idées. Et derrière chaque texte publié, chaque phrase partagée, il y a cette volonté de connecter 🤝 Non ? ------------------------ PS : Et bien sûr, pour faire du business aussi. On est là pour ça, non ?

Le truc cool dans mon métier, c’est de bosser avec des sceptiques. (Genre les ultra-sceptiques de LinkedIn, ceux qui doutent tellement que t’as presque envie de leur dire « Ok, laisse tomber ! ».) Mais j’adore bosser avec eux parce que derrière leurs doutes, leurs peurs, leur flemme ou leur soi-disant manque de temps, il y a toujours une émotion cachée. La peur d’échouer publiquement. La peur du jugement. L’impression que « LinkedIn, ça marche que pour les autres. » Quand je leur explique ma méthode, il y a souvent de la résistance, parfois un peu de mauvaise foi aussi. Et puis un jour, c’est le déclic. Un post qui prend. Un message inattendu. Un prospect qui demande un rendez-vous. Là, leur regard change totalement. (Et c’est exactement pour ce moment-là que je fais ce métier.) Accompagner les sceptiques, c’est un vrai kiff. Ça demande de la patience, de la pédagogie, parfois même de l’humour… mais ça vaut tellement le coup. Et toi, t’étais sceptique avant de débarquer sur LinkedIn ? (Ou tu l’es encore ?) ----------------- C’est le moment de te lancer ! Les sessions sont ouvertes pour le mois d'avril. Accèdez à la solution ici

En branding comme en foot, changer de maillot trop souvent, ça coûte des points – demandez à l’OM et au PSG. Carton rouge pour Bianca Costa ! L’affaire Bianca Costa met en lumière une réalité clé : l’identité de marque doit être assumée, et ceux qui la représentent doivent être alignés avec elle. Prévue pour performer avant PSG - Lille, elle est déprogrammée à la dernière minute. La raison ? Un tweet où on la voit porter un maillot de l’OM lors d’un concert. Mais le plus ironique, c’est que Bianca Costa n’a jamais affiché un quelconque soutien à l’OM. Elle explique qu’elle porte toujours des tenues upcyclées aux couleurs des villes où elle se produit, une simple démarche artistique. Et pourtant, le PSG l’a sortie du jeu… 5 heures avant l’événement. Bianca Costa a exprimé sa déception sur les réseaux, dénonçant un manque de professionnalisme total. →Elle s’était organisée malgré une période difficile : sa mère est hospitalisée depuis plus d’un mois. ➔Et pourtant, on l’a écartée sur la base d’un simple tweet. Ça peut sembler exagéré, mais quand on connaît la rivalité entre le PSG et l’OM, ce genre de réaction n’a rien de surprenant. Ces deux clubs ne sont pas de simples adversaires, ils incarnent une vraie guerre de territoire dans le football français. Alors voir le PSG couper court à toute ambiguïté, même pour un simple choix artistique, ça ne choque finalement pas tant que ça. Moralité : en sport comme en branding, soit tu es aligné avec tes valeurs, soit tu prends un tacle. 👉 Votre avis ? Le PSG a-t-il eu raison ?

1 milliard de personnes sur LinkedIn. Seulement 10 millions créent du contenu. Qu’ont en commun ces 1 % ? Une communauté J’ai fait l’erreur de publier seul, sans interaction et l’engagement était inexistant. Puis, j’ai trouvé les bonnes personnes. Et là, tout a changé. ↳Des échanges quotidiens qui comptent ↳De vraies opportunités business ↳+33000 abonnés ↳Des relations qui ont du sens Créer du contenu, ce n’est pas juste publier. C’est entrer dans un cercle vertueux et entouré des bonnes personnes, comme un entrepreneur qui sait s’entourer des meilleurs pour grandir. Les faits sont clairs : Ceux qui réussissent sur LinkedIn ne sont pas simplement ceux qui publient le plus. 𝐂𝐞 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐜𝐞𝐮𝐱 𝐪𝐮𝐢 𝐬𝐚𝐯𝐞𝐧𝐭 𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞𝐫, 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐚𝐠𝐢𝐫 𝐞𝐭 𝐟𝐞́𝐝𝐞́𝐫𝐞𝐫 𝐚𝐮𝐭𝐨𝐮𝐫 𝐝’𝐞𝐮𝐱. Parce que la clé du succès ici, ce n’est pas la quantité, mais la profondeur des relations que l’on crée. On avance ensemble. On grandit ensemble. On gagne ensemble. Ça peut sonner un peu trop conte de fées, j’avoue, mais c’est pourtant la réalité. Non ?

Moi, l’UX, j’en mettrais à toutes les sauces. Sur un site internet, dans un post LinkedIn… et même dans des objets du quotidien. Parce que l’UX, ce n’est pas que du digital, c’est avant tout une façon de penser pour rendre l’expérience plus fluide et intuitive. Un bon produit, c’est celui qui s’adapte à vous, sans effort. Et parfois, les meilleures leçons d’UX ne viennent pas du web… mais des objets les plus simples. Prenons un exemple : une bouteille de ketchup. Vous avez sûrement déjà vécu ce moment de frustration. Tapoter désespérément le fond de la bouteille en verre. Verser trop peu. Puis beaucoup trop. Puis un jour, quelque chose a bouleversé l’usage du ketchup… Mais quoi ? Suspense ! Et si cette même logique s’appliquait au design digital ? Voyons ensemble comment une bouteille de ketchup peut nous en apprendre beaucoup sur l’expérience utilisateur.

Le « Moi-Je » tue les conversations. RIP les vrais échanges. Ces discussions où personne n’écoute et tout le monde attend juste son tour pour parler, ça vous parle ? Chacun veut placer son avis, occuper l’espace et avoir le dernier mot : « Moi, je… », « Moi aussi… », « Moi, je fais mieux… » Et quand je dis cela, je me vois carrément le faire.  Honte à moi, j'ai ce foutu réflexe. On n’écoute pas vraiment. On répond machinalement. On déforme le dialogue en une bataille d’égo, plutôt que d’essayer de comprendre. Prenons un exemple concret : Quelqu'un vous confie : « J'ai du mal à publier sur LinkedIn. » Réflexe immédiat : « Moi, je publie tous les jours, c'est facile ! » Mais en répondant ainsi, on écrase la difficulté de l'autre. On efface ses émotions. On annule son ressenti. Peut-être qu'il doute. Qu'il a peur du jugement. Qu'il est submergé par ses obligations. Et c’est exactement pareil partout. Dans nos discussions pro. Dans nos relations perso. On s’empresse tellement de parler qu’on en oublie d’écouter. Soyons honnêtes : on le fait tous. Mais si on fait l’effort de vraiment écouter, alors les échanges deviennent plus riches, plus puissants, plus humains. On comprend mieux. Et surtout, on sort du bruit pour entrer dans un vrai dialogue. « Si l'on a deux oreilles et une seule bouche, c'est pour écouter deux fois plus que l'on ne parle. » – Proverbe grec Et vous, vous en pensez quoi ?

Comment fait-on quand on n’est pas un super-héros sur LinkedIn ? Parce qu’en vrai… On n’a pas tous connu des échecs monumentaux. On n’a pas tous frôlé la faillite avant de rebondir. On n’a pas tous une histoire digne d’un film Netflix. Et surtout, on n’a pas tous envie d’en parler. Car soyons honnêtes, on a tous vécu des galères. Mais pour la plupart, on n’a pas forcément envie de les crier sur tous les toits. Ça fait partie de l’intime. Et c’est OK. Et pourtant, quand on regarde certains posts, on a l’impression qu’il faut absolument avoir traversé une tempête pour être légitime. Ou au contraire, être un génie du business qui enchaîne les succès éclatants. Mais entre les deux, il y a qui ? Tous ceux qui avancent sans bruit. Qui construisent. Qui réussissent sans storytelling dramatique. Alors comment faire quand on n’a pas envie de jouer le rôle du super-héros sur LinkedIn ?  - Miser sur la clarté Votre valeur ne se résume pas à votre passé. Ce qui compte, c’est ce que vous apportez aujourd’hui. - Partager son expertise simplement Pas besoin de transformer chaque anecdote en scénario hollywoodien. Vos conseils concrets ont bien plus d’impact qu’un énième récit épique. - Assumer son positionnement Être “normal” ne signifie pas être invisible. Ça veut dire être authentique et attirer les bonnes personnes. Moralité : Pas besoin d’être un super-héros ou d’exagérer son parcours : sur LinkedIn, la clarté, la constance et l’authenticité suffisent pour avoir de l’impact. Vous, vous en pensez quoi ?

🤫 Nike : 8 secrets que vous n’imaginez même pas… Nike. Un simple logo ? Une paire de baskets ? Non. C’est bien plus que ça. C’est une révolution. Une obsession. Un empire. Mais derrière ce succès planétaire se cachent des secrets que très peu de gens connaissent. Des décisions audacieuses. Des anecdotes surprenantes. Des stratégies qui ont fait de Nike une marque INCONTOURNABLE. Prêt(e) à découvrir l’envers du décor ? Faites défiler. ⬇️

LinkedIn devient ennuyeux, et vous le savez. Voici pourquoi. Chaque jour, le même schéma se répète : ↳Les mêmes tournures de phrases ultra marketées. ↳Les mêmes "hacks" engagement qui sonnent faux. ↳Les mêmes carrousels génériques qu’on a déjà vus 100 fois ↳Des vidéos éducatives recyclées ↳Des styles d'écriture identiques ↳Les mêmes histoires larmoyantes pour faire vibrer l’algorithme Vous en avez marre ? Moi aussi. Mais au lieu de râler, voyons ça comme une énorme opportunité : Celle de vous démarquer et de marquer les esprits. Comment ? ↳En osant une approche différente. ↳En partageant ce que personne d’autre n’ose dire. ↳En transformant chaque post en une expérience mémorable. ↳En étant régulier(ère), même quand les stats ne sont pas au rendez-vous. Parce que ceux qui explosent sur LinkedIn ne sont pas forcément les meilleurs… Ce sont ceux qu’on REMARQUE. 𝐄𝐭𝐫𝐞 𝐃𝐈𝐅𝐅𝐄𝐑𝐄𝐍𝐓 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐥𝐮𝐬 𝐩𝐮𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐪𝐮’𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐏𝐀𝐑𝐅𝐀𝐈𝐓. Alors, vous choisissez quoi ? Rester dans l’ombre ou marquer votre territoire ? 🚀 ------------------------------- Je suis Aurore et j'aide vraiment les entrepreneurs ambitieux sur LinkedIn.

Paresse, gourmandise, colère… ces péchés sont exactement ce qu’il vous faut pour réussir sur LinkedIn.” (Attendez… quoi ?! Oui, vous avez bien lu.) On vous a toujours dit que ces “défauts” étaient à éviter. Mais, et si je vous disais qu’ils sont en réalité les clés pour capter l’attention et marquer les esprits sur LinkedIn ? (Ne partez pas, restez avec moi !) Parce que l’humain est programmé pour réagir aux émotions fortes. Et ces péchés ? Ce sont des leviers psychologiques puissants que vous pouvez utiliser pour booster votre visibilité. Là, maintenant, vous vous dites “Mais comment je vais faire ça ?” Ne vous inquiétez pas, je vais vous montrer comment exploiter ces 7 péchés pour briller sur LinkedIn. C'est par ici 👇

Il y a UNE habitude japonaise que je rêve d’importer dans le métro parisien. Je me souviens encore de mon arrivée à Tokyo. Je monte dans le métro, et là, naturellement, je commence à parler, à rire, à raconter ma vie à voix haute (bah oui, j’étais en vacances, zéro pression). Mais tout à coup, je sens des regards glacés se poser sur moi. Je lève les yeux. Silence absolu. (Pas un murmure, pas un chuchotement, rien.) Je réalise alors le code implicite : au Japon, personne ne parle dans le métro. C’était bizarre au début, puis très vite devenu génial. Un calme total. La paix. Le pied. Et puis hier, retour brutal à la réalité parisienne. Je reprends le métro après une éternité et là, c’est la claque : Des gens qui hurlent au téléphone (et racontent leur vie à tout le wagon). Des débats sans fin à voix très haute (alors qu'on ne leur avait rien demandé). Des bousculades gratuites (comme si on jouait tous notre vie à chaque station). Bref, Paris dans toute sa splendeur, quoi. L’enfer sur Terre en heure de pointe. Résultat : Je deviens tendue. Ça me fait réfléchir : Pourquoi ce respect de l’espace commun est-il si différent d’un pays à l’autre ? À Tokyo, silence = respect. À Paris, parler fort = normalité. Vous en pensez quoi, vous ? 👇 Team silence ou team bavardage dans le métro ?

Je regrette les vraies conversations sur LinkedIn. Vous savez, celles qui vous font interrompre votre scroll pour vous dire : « Wow, là il faut vraiment que je prenne le temps de répondre ! » Mais ces derniers temps, mon fil d’actualité ressemble à une playlist en boucle : Des contenus copiés-collés (le genre qui ressemble à tout, sauf à la personne qui les publie). Ce que je recherche vraiment ici, ce sont les histoires brutes. Celles qui sont imparfaites, mais vraies. Celles qui ne cherchent pas uniquement l’engagement facile. Celles qui vous font réfléchir, débattre, grandir. Parce que soyons honnêtes : on ne construit pas une communauté sur des formules toutes faites, mais sur de vraies connexions humaines. On n’a pas besoin d’un énième : « 10 conseils pour booster votre visibilité sur LinkedIn. » On veut votre vérité. Parce qu'au final, c’est votre singularité qui compte. Alors maintenant, je vous pose une vraie question : Quels sont les créateurs qui vous obligent à ralentir, réfléchir, réagir ? Ceux dont vous ne loupez jamais les publications parce qu’elles provoquent quelque chose en vous. 👇 Identifiez-les en commentaire. Rendons LinkedIn vivant, ensemble. --------------- Si tu me découvres, je suis Aurore et je simplifie le digital pour les entrepreneurs ambitieux comme toi

Je ne sais pas vous, mais les selfies en continu, ça me fatigue. Chaque jour, je scrolle sur LinkedIn et je tombe sur les mêmes visages en gros plan. Encore. Et encore. 👀 Ça capte l’attention, c’est sûr. Ça humanise, pourquoi pas. Mais est-ce que ça donne vraiment envie de suivre la personne ? Je ne dis pas que c’est inutile. J’en poste moi aussi, mais avec parcimonie. Parce qu’à force de trop se voir, on finit par ne plus se regarder. À force de trop s’exposer, on finit par ne plus capter l’intérêt. Le personal branding, ce n’est pas juste une affaire de selfies. C’est une question de message, d’impact, de différenciation. Tu veux qu’on se souvienne de toi ? Ne mise pas seulement sur ton image. Mise sur ce que tu racontes, ce que tu apportes, ce que tu partages. Parce qu’au final, le jour où ton audience se souvient plus de ta tête que de tes idées, c’est qu’il y a un problème. Moins de selfies, plus de fond, plus d’impact. 👉 Et vous, vous en pensez quoi ? Trop de selfies sur LinkedIn ?

Et si vous ne portiez plus qu’un seul vêtement tous les jours ? (Un choix étrange ? Et pourtant…) Steve Jobs l’a fait. Toujours le même col roulé noir. Pourquoi ? Par confort ? Par habitude ? Par superstition ? Vous pourriez croire que c’est un simple détail. Mais en réalité, ce choix cache une logique implacable. Et si derrière ce pull se cachait une philosophie de vie, un principe qui va bien au-delà du style vestimentaire ? Faites défiler 👉 (Et devinez avant la fin…)

Un jour, le logo de Total a changé. C’était en 2021. Discrètement, presque sans bruit, les majuscules ont disparu. TOTAL est devenu total. Un simple ajustement typographique ? Ou un symbole d’un changement plus profond ? Derrière cette transformation, une stratégie. Une intention. Un message. Pourquoi une multinationale pétrolière abandonnerait-elle sa prestance visuelle ? Pourquoi adoucir son image dans un monde en pleine transition énergétique ? Les apparences sont trompeuses. Regardons de plus près C'est par ici 👇

Sur LinkedIn, votre profil parle avant vous. Faites-le parler fort. J’ai passé du temps (beaucoup de temps) à analyser ce qui fait un profil puissant. Résultat ? 50 slides, mais surtout un condensé de 5 points clés parmi tant d’autres. (Parce que soyons honnêtes, on ne peut pas tout traiter en un post, mais ces 5-là feront vraiment la différence.) Je sais qu’on a tendance à foncer tête baissée : on publie, on commente, on interagit… mais si votre profil n’est pas optimisé, tout ça ne sert à rien. (C’est un peu comme essayer de vendre sans vitrine… qui achètera ?) L’objectif ici, c’est de vous donner des leviers concrets pour attirer, convaincre et générer des opportunités. 👉 Pas le temps de tout lire maintenant ? (Je comprends, on est tous débordés.) Enregistrez ce post et revenez-y plus tard. Mais si vous voulez un profil qui travaille pour vous, prenez 5 minutes. (Vous ne le regretterez pas. 😉) C'est par ici 👇